jeudi 12 janvier 2012

CHAPITRE XXXVII

Les juifs ne sont ni innocents, ni rédemptifs.

Le sionisme nous le démontre tous les jours, pour faire sienne une vérité n’hésite pas à la détourner.
Je ne voulais pas en parler pour ne pas accabler d’avantage les juifs qui finalement sont, pour bon nombre d’entre eux aussi des victimes, nullement de l’antisémitisme supposé par le sionisme, qui en a besoin, mais de la propagande que cette secte voudrait leur imposer.  Mais compte tenu des mensonges qu’ils répandent il n’y a pas de raison de taire la vérité.
Mais encore une fois, ne vous servez pas d’actes d’autrefois, pour justifier un quelque racisme aujourd’hui. 
L’Irgoun fit sauter à l’explosif  l’Hôtel King David à Jérusalem ou siégeait l’Etat-major Anglais ou périrent des anglais et des palestiniens. Quant à l’acte qualifié de terrorisme par les deux… Se fut pendant la révolte arabe contre les Anglais à coté des quels, les juifs palestiniens combattirent à ce moment-là, allant à l’encontre de la majorité de la population. 
A Saint Jean d’Acre, une grande partie de la population et une cinquantaine de militaires Anglais furent victimes intoxication par l’eau qui provenait d’une source à dix km. de là. Dans un premier temps on a cru que la cause en était la promiscuité du a l’afflux de réfugies des villages que la Haganah « nettoyait » et les conditions d’hygiène. Cependant les militaires anglais n’avaient pas ces problèmes et furent tout de même contaminés. Transportes à l’hôpital il c’est avéré qu’ils avaient été contaminés par le virus de la thyroïde, dysenterie… et de fortes présomptions pesait sur l’eau.
A gaza deux juif, un s’appelait Metzrahï, l’autre je ne m’en souviens plus, furent pris en flagrant délit de tentative de contamination des puits et furent exécutés par l’armée Egyptienne. Ben Gourion en fut informé, il le nota sur son calepin mais ne protesta pas ! Source : « Le Nettoyage Ethnique de la Palestine », Ilan Pappe Historien israélien, Fayard.


- Vous vous intéressez aux rapports germano-arabes, du début des années 30 à la chute du IIIe Reich, 1945. Qu’apporte l'ouvrage, que tu m'as parlé, sur ce sujet peu connu ?   
- Cet écrivain écrit : La plupart des recherches sur le sujet s’interrompent, étonnamment, avec le début de la Deuxième guerre mondiale. Dans Croissant fertile et croix gammée, au contraire, nous mettons l’accent sur cette période, à nos yeux décisive, Nous avons ainsi pu démontrer –et c’était avant tout à fait méconnu- que au plus fort de l’avancée des troupes de Rommel en Afrique à l’été 1942, une opération commando a été organisée afin de traverser le canal de Suez, occupée par les Egyptiens. Ces escadrons de la mort SS  devaient manifestement étendre au Proche-Orient, et avant tout en Palestine qui abritait alors quelque cinq cents mille juifs, l’holocauste débute en Europe. Heureusement la défaite des Italiens et des Allemands à El-Alamain empêcha la réalisation de c e funeste projet.  
- Comment expliquer cette sympatie du monde arabe pour le IIIe Reich ?
- Cet écrivain écrit : Beaucoup de gens au Proche-Orient désiraient obtenir l’indépendance de leur pays, et c’est pour cela qu’ils souhaitaient une victoire Allemande face aux mandats français et anglais. Cependant, nous nous sommes rendu compte que ce parti pris pour l’Allemagne nazie était également, bien souvent, la conséquence d’une haine radicale contre la minorité juive de Palestine. Bien que, de leur coté, les juifs palestiniens vécussent une existence paisible et intégrée, l’antisémitisme est très vite devenu une composante essentielle du projet de construction d’une nation palestinienne, soutenue avec force par les autres pays Arabes. Il n’est donc pas étonnant que le nazisme, dans son combat contre les juifs au Proche-Orient, ait pu devenir un modèle.  Jusqu'à présent une grande partie des recherches allemandes affirmait, à tort, que le monde arabe ne s’était rapproché d’Adolf Hitler que dans la logique stratégique, sans aucune affinité idéologique. Dans notre livre, nous avançons, au contraire, que l’antisémitisme fanatique était précisément à l’origine de la fascination des Arabes pour le nazisme.
- Quel intérêt le IIIe Reich avait-il à s’allier avec les Arabes ?
- Cet écrivain écrit : Les Sympathies arabes pour  n’étaient naturellement pas inconnues de Berlin. Au début, il fallait se contraindre à la réserve, compte tenu des rapports de force en Europe, Plus tard avec le début de la guerre, les nazis ont pris ouvertement parti pour les Arabes. Le IIIe Reich était intéressé par une alliance avec le Proche-Orient, dans l’optique d’un affrontement avec les Anglais. 
- Concrètement, comment s’est manifestée cette alliance avant, puis pendant la Deuxième guerre mondiale ?
- Cet écrivain écrit : Dès la fin des années 30, le IIIe Reich fournit de l’argent et des armes au soi-disant soulèvement arabe en Palestine – en réalité, il s’agissait simplement d’actes terroristes à l’encontre des Anglais et des juifs. En 1941, Hitler soutient même avec quelques troupes un coup d’État infructueux (pas de chance) contre le mandant anglais en Irak. Un an après, Rommel conquiert de nouveau territoires Égyptiens et prévoit une traversé du canal de Suez. Toutes les opérations militaires allemandes étaient accompagnées d’importantes mesures de propagande qui, dans les pays arabes, provoquaient des réactions d’enthousiasme. Au cours de la guerre, plusieurs milliers d’engagées volontaires arabes se sont mis à la disposition des Allemands.    

Je m’arrête là, le reste est du même acabit, pas de fait précis, pas de précision sur les relations des sionistes avec l'idéologie nazi, pas de noms de lieux ou de personnes quant à la bataille de El-Allemain, même les enfants de maternelle connaissent cet épisode.  C’est Hadj Amin al-Husseini, maire de Jérusalem qui, cherchant des alliances stratégiques, eut un seul et unique contact avec Hitler.
Dans la même revue en « éditorial » intitulée : « Le nazisme au village » parle d’un film « Le Ruban blanc » où dans un village le rigorisme paternel engendra les futurs nazis. Raccourci volontaire, l’important ici est le titre de l’éditorial qui une nouvelle fois tente de réveiller les peurs des vraies victimes ou de leur proches, par des phrases choc.

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