- Des colons disent que c’est la terre de leurs ancêtres !
- Qui peut croire que les Palestiniens passaient par là, par hasard qu’ils étaient venus en vacances, il y a six mille ans ? Finalement ces colons sont de pauvres gens victimes de leur endoctrinement. Loin des hommes valeureux d’après guerre. La France d’après la guerre produisit des hommes volontaires, loyaux, honnêtes prenant de Hautes fonctions et savaient qu’un mandat électoral n’était pas pour eux un moyen de servir leurs intérêts personnels mais ceux de la France. Une fois cette génération disparue les ambitions politiciennes ce sont fait jour l’idéal Républicain remplacé par l’ambition propre ou communautariste, l’argent est devenu une fin en soi au lieu d’un moyen et s’en fut fini de l’idéal de justice qu’avait fait n’aître la démocratie d’après guerre.
La devise de la France était à elle seule, l’espoir de tous ceux qui passionnés de liberté voulaient en faire leur devise : « Liberté Égalité Fraternité » aucun pays au monde n’a plus belle devise. La France était à cette époque la vitrine des pays épris de justice de la République à la des Monarchie parlementaire. De tous les hommes pour qui loyauté n’étais pas un mot vide sens mais de tous ceux pour qui la démocratique était indissociable de : « justice » la vraie pas celle des complots, règlements et des lois qui s’érigent en fonction de la coterie en place et servent principalement à s’approprier le la valeur ajoutée qu’a procuré le travail des autres. Jésus Christ à dit : « tu gagneras ton pain à la sueur de ton front » lui qui jeta les marchants du temple hors du parvis, que la religion est incompatible avec la cupidité ou la position sociale, qu’il n’y à pas de place privilégié dans la maison de Dieu, que la spiritualité et vénalité sont contraires. La religion musulmane : « interdit de faire de l’argent avec l’argent » le pardon et le partage y ont une grande place. C’est peut-être dans la désobéissance de ces concepts de vie que se trouvent les malheurs du monde.
Le Général de Gaulle que des mal appris voulaient qualifier de dictateur parce qu’il en avait assez des cette politique qui ne mène nulle part qu’a des querelles intestines pour le pouvoir où des intérêts supranationaux se taillent la part du lion. Il n’avait qu’un seul dessein, une seule ambition : celui de la France qui par l’énergie insufflée devenait celui des français. C’est de Gaulle qui a voulu la Sécurité sociale il disait aussi qu’a terme il fallait que les français s’assument et prennent en charge son coût. Le Général l’avait dit, mais il disait aussi qu’il fallait qu’ils en aient les moyens. A la différence des politiques actuels qui veulent que le système rembourse de moins en moins, que l’assurée paye de plus en plus sans en avoir les moyens. Toute la différence entre un aigrefin et un homme honnête est là.
De la Participation le Général voulait en faire un modèle qui serait envié y compris par les communistes les plus irréductibles. Mais là encore une fois ce système qui considérait tout homme à sa juste valeur fut accaparée par une minorité pensant que la rémunération normale de leurs investissements n’était pas suffisante. D’ailleurs la faillite du système sociétal actuel avec le refus d’élargir l’assiette des cotisations aux plus values financières et immobilières qui aurait permis de pérenniser cet outil de fraternité pour l’éternité, n’a pas d’autre incubateur.
- Tu ne penses pas voir les choses trop en noir ?
- Evidement, mais moi qui observe cette société depuis plus de trente ans et ayant passée par tous les secteurs de son économie du bâtiment à l’assurance : secteur primaire, secondaire, tertiaire. La chose ne m’est apparue comme une révélation mais comme un processus lent, insidieux. Prenant possession de l’Etat comme le cancer de ma femme le fit de son corps. Il n’y a aucune raison pour que des groupes se destinent à n’occuper que de hautes fonctions et d’autres les besognes. Dans toute nation à fortiori démocratique chaque citoyen doit prendre, non la place qui lui est réservé mais celle dont il en a les capacités intellectuelles et psychiques. Pas les capacités de sa famille ou de sa communauté.
- tu n’es pas trop systématiquement contre la société et contre Israël ?
- Quelle société ? Une société sous-entend un projet où tous les citoyens y ont une place. Non, je ne suis pas contre Israël je suis pour le peuple Palestinien. Différence somme toute non négligeable. En fait il y a deux raisons à mon engagement : La première, militer pour le Droit des Palestiniens ; la seconde contre cette intelligentsia française infiltre dans la politique et les media, qui, parce qu’elle a des accointances avec Israël non seulement manipule le citoyen français mais encore ne lui permet pas de se faire une opinion objective. Mais, je me trompe peut-être.
- Mingo ça c’est ton expérience !
- Oui, mais c’est bien ainsi que je l’entends : je ne te livre là que l’analyse que j’ai de mon expérience, après…
Ce que j’ai compris aussi c’est que : « pour la plupart des personnes la loyauté est une notion encrée en eux sans même pouvoir clairement l’exprimer ou la définir, ils ont cela en eux et l’assimilent à ce qui est bien ». Cette notion disparaît totalement chez un sioniste pour lui c’est une notion abstraite, seul leur intérêt personnel ou communautaire compte. En ayant compris cela, j’ai compris pourquoi les israéliens s’engagent, lors des pourparlers de paix mais aussi tout au long de ce conflit, dans des concepts qu’ils savent d’avance qu’ils ne respecteront pas.
Ben Gourion en est l’exemple parfait.
- si je te comprends bien, d’après toi il n’y pas de différence entre nazisme et sionisme ?
- Ce n’est pas moi qui le dis, c’est le Professeur Yetshaitahu Leibowitz. Cependant, il y a d’après moi une différence entre nazisme et sionisme, sans doute non négligeable. Sans juger de la finalité criminelle, le nazisme assumait ses crimes, en ce sens qu’il ne cherchait pas d’excuse, pas de bouc émissaire pour les justifier. A contrario la politique israélienne a de tous temps cherché des justifications, aussi bien dans le passé, que dans la Bible, que dans des actions que d’autres auraient commises et provoquées par eux.
- Explique-toi !
- Israël voudrait justifier le sionisme par les Pogrom et plus tard la Shoah, le droit à cette Terre par le mythe de la « Terre promise », les crimes qu’il commet il les veut représailles, alors même qu’il en est à l’origine. Mais intrinsèquement dans l’absolu l’objectif est le même : « faire disparaître un peuple ». Sur place ou suite a un transfert de populations.
- Oui mai un transfert, ne peut pas être comparé à un génocide.
- Oui tu as raison. C’est avec ce principe que le sionisme a cru pouvoir s’attirer l’indulgence du monde ils y ont en grande partie réussi. Il n’en reste pas moins que la méthode est tout aussi dommageable à long terme pour les victimes, aujourd’hui encore plus de soixante années après, ces réfugiés le sont toujours y compris sous leur propre sol, dans leur propre pays. Ils voient : disparaître leur famille, leur histoire, leur terres, leur pays, aussi lente que soit-il cette disparition est tout aussi traumatique que peut l’être un génocide brutal. Les séquelles sont tout aussi profondes que celles des rescapées des camps de la mort dont les souffrances hantent leurs nuits et qu’ils ne peuvent oublier.
La loi morale que formule Kant est : « Agis uniquement d’après la maxime qui fait que tu peux vouloir en même temps qu’elle devienne universelle. » c'est-à-dire : « agis de telle sorte que tu traites l’humanité aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre toujours en même temps comme une fin et jamais simplement comme un moyen. » Ce qui revient à dire que nous ne devons pas « utiliser » les autres pour essayer d’en tirer un profit personnel. En effet, tous les hommes sont une fin en soi. Cela veut pour tous les autres, mais aussi pour toi-même. Tu n’as pas le droit de l’utiliser seulement comme moyen pour obtenir quelque chose.
En clair : « Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse. »
- Qui peut croire que les Palestiniens passaient par là, par hasard qu’ils étaient venus en vacances, il y a six mille ans ? Finalement ces colons sont de pauvres gens victimes de leur endoctrinement. Loin des hommes valeureux d’après guerre. La France d’après la guerre produisit des hommes volontaires, loyaux, honnêtes prenant de Hautes fonctions et savaient qu’un mandat électoral n’était pas pour eux un moyen de servir leurs intérêts personnels mais ceux de la France. Une fois cette génération disparue les ambitions politiciennes ce sont fait jour l’idéal Républicain remplacé par l’ambition propre ou communautariste, l’argent est devenu une fin en soi au lieu d’un moyen et s’en fut fini de l’idéal de justice qu’avait fait n’aître la démocratie d’après guerre.
La devise de la France était à elle seule, l’espoir de tous ceux qui passionnés de liberté voulaient en faire leur devise : « Liberté Égalité Fraternité » aucun pays au monde n’a plus belle devise. La France était à cette époque la vitrine des pays épris de justice de la République à la des Monarchie parlementaire. De tous les hommes pour qui loyauté n’étais pas un mot vide sens mais de tous ceux pour qui la démocratique était indissociable de : « justice » la vraie pas celle des complots, règlements et des lois qui s’érigent en fonction de la coterie en place et servent principalement à s’approprier le la valeur ajoutée qu’a procuré le travail des autres. Jésus Christ à dit : « tu gagneras ton pain à la sueur de ton front » lui qui jeta les marchants du temple hors du parvis, que la religion est incompatible avec la cupidité ou la position sociale, qu’il n’y à pas de place privilégié dans la maison de Dieu, que la spiritualité et vénalité sont contraires. La religion musulmane : « interdit de faire de l’argent avec l’argent » le pardon et le partage y ont une grande place. C’est peut-être dans la désobéissance de ces concepts de vie que se trouvent les malheurs du monde.
Le Général de Gaulle que des mal appris voulaient qualifier de dictateur parce qu’il en avait assez des cette politique qui ne mène nulle part qu’a des querelles intestines pour le pouvoir où des intérêts supranationaux se taillent la part du lion. Il n’avait qu’un seul dessein, une seule ambition : celui de la France qui par l’énergie insufflée devenait celui des français. C’est de Gaulle qui a voulu la Sécurité sociale il disait aussi qu’a terme il fallait que les français s’assument et prennent en charge son coût. Le Général l’avait dit, mais il disait aussi qu’il fallait qu’ils en aient les moyens. A la différence des politiques actuels qui veulent que le système rembourse de moins en moins, que l’assurée paye de plus en plus sans en avoir les moyens. Toute la différence entre un aigrefin et un homme honnête est là.
De la Participation le Général voulait en faire un modèle qui serait envié y compris par les communistes les plus irréductibles. Mais là encore une fois ce système qui considérait tout homme à sa juste valeur fut accaparée par une minorité pensant que la rémunération normale de leurs investissements n’était pas suffisante. D’ailleurs la faillite du système sociétal actuel avec le refus d’élargir l’assiette des cotisations aux plus values financières et immobilières qui aurait permis de pérenniser cet outil de fraternité pour l’éternité, n’a pas d’autre incubateur.
- Tu ne penses pas voir les choses trop en noir ?
- Evidement, mais moi qui observe cette société depuis plus de trente ans et ayant passée par tous les secteurs de son économie du bâtiment à l’assurance : secteur primaire, secondaire, tertiaire. La chose ne m’est apparue comme une révélation mais comme un processus lent, insidieux. Prenant possession de l’Etat comme le cancer de ma femme le fit de son corps. Il n’y a aucune raison pour que des groupes se destinent à n’occuper que de hautes fonctions et d’autres les besognes. Dans toute nation à fortiori démocratique chaque citoyen doit prendre, non la place qui lui est réservé mais celle dont il en a les capacités intellectuelles et psychiques. Pas les capacités de sa famille ou de sa communauté.
- tu n’es pas trop systématiquement contre la société et contre Israël ?
- Quelle société ? Une société sous-entend un projet où tous les citoyens y ont une place. Non, je ne suis pas contre Israël je suis pour le peuple Palestinien. Différence somme toute non négligeable. En fait il y a deux raisons à mon engagement : La première, militer pour le Droit des Palestiniens ; la seconde contre cette intelligentsia française infiltre dans la politique et les media, qui, parce qu’elle a des accointances avec Israël non seulement manipule le citoyen français mais encore ne lui permet pas de se faire une opinion objective. Mais, je me trompe peut-être.
- Mingo ça c’est ton expérience !
- Oui, mais c’est bien ainsi que je l’entends : je ne te livre là que l’analyse que j’ai de mon expérience, après…
Ce que j’ai compris aussi c’est que : « pour la plupart des personnes la loyauté est une notion encrée en eux sans même pouvoir clairement l’exprimer ou la définir, ils ont cela en eux et l’assimilent à ce qui est bien ». Cette notion disparaît totalement chez un sioniste pour lui c’est une notion abstraite, seul leur intérêt personnel ou communautaire compte. En ayant compris cela, j’ai compris pourquoi les israéliens s’engagent, lors des pourparlers de paix mais aussi tout au long de ce conflit, dans des concepts qu’ils savent d’avance qu’ils ne respecteront pas.
Ben Gourion en est l’exemple parfait.
- si je te comprends bien, d’après toi il n’y pas de différence entre nazisme et sionisme ?
- Ce n’est pas moi qui le dis, c’est le Professeur Yetshaitahu Leibowitz. Cependant, il y a d’après moi une différence entre nazisme et sionisme, sans doute non négligeable. Sans juger de la finalité criminelle, le nazisme assumait ses crimes, en ce sens qu’il ne cherchait pas d’excuse, pas de bouc émissaire pour les justifier. A contrario la politique israélienne a de tous temps cherché des justifications, aussi bien dans le passé, que dans la Bible, que dans des actions que d’autres auraient commises et provoquées par eux.
- Explique-toi !
- Israël voudrait justifier le sionisme par les Pogrom et plus tard la Shoah, le droit à cette Terre par le mythe de la « Terre promise », les crimes qu’il commet il les veut représailles, alors même qu’il en est à l’origine. Mais intrinsèquement dans l’absolu l’objectif est le même : « faire disparaître un peuple ». Sur place ou suite a un transfert de populations.
- Oui mai un transfert, ne peut pas être comparé à un génocide.
- Oui tu as raison. C’est avec ce principe que le sionisme a cru pouvoir s’attirer l’indulgence du monde ils y ont en grande partie réussi. Il n’en reste pas moins que la méthode est tout aussi dommageable à long terme pour les victimes, aujourd’hui encore plus de soixante années après, ces réfugiés le sont toujours y compris sous leur propre sol, dans leur propre pays. Ils voient : disparaître leur famille, leur histoire, leur terres, leur pays, aussi lente que soit-il cette disparition est tout aussi traumatique que peut l’être un génocide brutal. Les séquelles sont tout aussi profondes que celles des rescapées des camps de la mort dont les souffrances hantent leurs nuits et qu’ils ne peuvent oublier.
La loi morale que formule Kant est : « Agis uniquement d’après la maxime qui fait que tu peux vouloir en même temps qu’elle devienne universelle. » c'est-à-dire : « agis de telle sorte que tu traites l’humanité aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre toujours en même temps comme une fin et jamais simplement comme un moyen. » Ce qui revient à dire que nous ne devons pas « utiliser » les autres pour essayer d’en tirer un profit personnel. En effet, tous les hommes sont une fin en soi. Cela veut pour tous les autres, mais aussi pour toi-même. Tu n’as pas le droit de l’utiliser seulement comme moyen pour obtenir quelque chose.
En clair : « Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse. »
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