vendredi 25 novembre 2011

Un peu d’Histoire





Les colons fanatiques se réclament les seuls héritiers de la terre  donnée par Dieu !
Mais la réalité est toute autre, Palestine :
Région du Proche-Orient, extrémité occidentale du Croissant fertile entre le Liban et la mer Morte, à l’ouest du Jourdain  (Israël, Cisjordanie et Gaza incluses).
Riche de vestiges préhistoriques, elle appartient à l’Egypte du XVe  au XIIe av. J.-C.  Divers peuples l’occupent ensuite, notamment les Philistins, qui lui donnent son nom, « pays des Philistins » et les Hébreux qui,  y voient leur « Terre promise ».  L’histoire hébraïque s’identifie à celle de la Palestine jusqu’aux révoltes juives  de 70 et 135.
1er s : naissance du Christianisme, dont la Palestine devient la « Terre sainte ».
VIIe siècle : après avoir été romaine, puis byzantine, elle est conquise par les Arabes musulmans.
XIIe – XIIIe siècle : les croisés y créent des états.
XIVe – XVIe siècle : domination des Mamelouks d’Egypte, puis des Turcs Ottomans (1517).
XXe  siècle : pendant la Première Guerre mondiale, les Britanniques encouragent le nationalisme arabe contre les Turcs tout en affirmant être favorables à la création d’un foyer Juif en Palestine (Déclaration Balfour, le 2 novembre 1917) Province est enlevé à la Turquie en 1918. Une Palestine sous mandat britannique naît en 1920 et accueille une forte immigration juive, suscitant une hostilité croissante de la population arabe qui se révolte (1936).
De 1935 à 1939, les Arabes craignant d’être submergés par la forte immigration juive, se révoltent à plusieurs reprises contre les Anglais.
Le refus britannique  d’accepter les recommandations du congrès sioniste de New York (1942), qui préconisait la fondation d’un Etat juif, la création de la ligue arabe (1945) et l’organisation d’une immigration juive clandestine rallumèrent l’action terroriste de l’Irgoun et du groupe Stern (1945-1946).
 La Grande-Bretagne renonça à son mandat (1947-1948). En 1947, l’ONU  établit un plan de partage entre un Etat juif et un Etat palestinien et une zone internationale (Jérusalem).
En 1948, la fin du mandat britannique, la proclamation de l’Etat d’Israël  et la première guerre Israélo-arabe ont pour conséquence la fin de la Palestine comme entité territoriale  (outre les territoires constituant Israël, la Judée -Cisjordanie- est annexe par la Jordanie et la bande de Gaza passe sous mandat Egyptien, la région du lac de Tibériade, les plateaux occidentaux et le désert du Néguev, à Israël.) la fuite de nombreux habitants vers les pays voisins est la conséquence  de l’épuration ethnique que les juifs imposent à la population, principalement arabe.
L’OLP, crée en 1964, fédère la plupart des mouvements  palestiniens. La Palestine entièrement occupées par Israël dès 1967, Gaza et la Cisjordanie voient se développer l’Intifada (1987).  A nouveaux de nombreux palestiniens se sont réfugiés dans les pays arabes limitrophes. Où l’Office de secours et de travaux des Nations Unies (United Nations  Relief and Work Agency [UNRWA]) leur vient en aide. Plusieurs organisations politiques et militaires défendent les droits du peuple palestinien. La plus importante l’OLP.
La résistance palestinienne ne put agir  qu’à partir pays limitrophes d’Israël, qui, à la suite des raids de représailles israéliens, cherchèrent à contrôler son action ; d’où des conflits entre les Palestiniens et les autorités jordaniennes (1970-1971) ou Libanaises (guerre civile de 1975-1976) et l’invasion du Liban méridional par Israël, en 1982, qui oblige l’état-major de l’OLP  à quitter Beyrouth.  La résistance palestinienne à organise, dans une première phase, un certain nombre d’actions spectaculaires et d’actes terroristes (détournements d’avions, attentat aux jeux Olympiques de Munich à l’encontre de l’équipe israélienne en 1972) qui, tout en provoquant la réprobation de l’opinion publique mondiale, ont fait prendre conscience du fait Palestinien. 
A la suite des accords de Washington  (1993) puis du Caire (1993), une Autorité palestinienne s’installe à Jéricho et à Gaza  (1994). Yasser Arafat est élu président (1996). Cette Autorité demande l’arrêt des implantations juives en Cisjordanie et le retrait de l’armée israélienne.

 « Il y a en Palestine un double déni : un déni de droit et un déni de justice et on refuse le droit aux palestiniens parce qu’ils se  révoltent contre l’injustice dont ils son victimes ».

Jérusalem veut dire « Ville de Jésus » Jésus était juif c’est aussi le fondateur du Christianisme.
Jérusalem appartient par conséquent aux Chrétiens.
Ha ! Là vous n’êtes plus d’accord avec la Bible, c’est bien ce que je pensais. Le proverbe qui dit : "ne fais pas à ton voisin ce que tu ne voudrais qu'ils te fasse" ne doit pas s'appliquer, apparemment, aux juifs ! Ils veulent bien te faire subir leurs affres, mais en aucun cas tu ne peux leur rendre la monnaie de leur pièce, cela ne serait pas juste. Ben voyons...
(Les juifs peuvent appliquer des taux usuraires, et trouvent cela normal, mais dès que les populations trouvent qu'il y a là un abus et ces populations prises à la "gorge" par des remboursements qu'ils ne peuvent honorer, commettent l'irréparable, et c'est  c'est logique, commettent un crime. Mais la question que les Juifs ne se sont, apparemment, pas posée : est-ce que pratiquer des taux usuraires est légal ? Gagner de l'argent avec l'argent est utile ? Ne sont là, aussi, des atavismes condamnables. Empêcher quelqu'un de vivre  n'est-ce pas aussi criminel que de le tuer  ?)   

La Palestine est la cible d’une longue et lente machination fomentée depuis 1896 et mise en pratique à grande échelle à partir de 1948  la société palestinienne n’a pas cessée d’être harcèle depuis par Israël détruisant les infrastructures, l’habitat autochtone, réduisant les palestiniens à de simples spectateurs de leur malheur et quand ils résistent Israël, les USA, l’Europe les accusent de terrorisme.    

Parlement Européen :


La Vice-présidente du parlement Européen Mme Morandini nous invita à assister à la sous-commission préparant la séance plénière de la commission, sur les prisonniers palestiniens détenus en Israël, principalement ceux emprisonnés sous le régime dit « administratif ». Concept n’existant pas en droit français.

Les résolutions de la commission condamnaient, effectivement, Israël sur de nombreux points, mais une des résolution en faveur d’Israël annihilait toutes les autres. En effet, le Parlement demandait à l’Autorité palestinienne de cesser tout acte de terrorisme. (Résistance = terrorisme !) Pourtant ce sont des députées, connaissant parfaitement la signification de ce mot et ne pouvaient ignorer la situation.   Par cette résolution ; le Parlement Européen entérinait le bien fondé de la politique israélienne, qualifiant la résistance palestinienne de terrorisme  l’UE condamnait un peuple pour sa résistance à l’occupant. Cette question je la soulevais l’ors d’une réunion et que je ne souhaitais pas laisser ce mensonge en l’état. Mais apparemment la position du Parlement Européen convenait à la Présidente du collectif. Comme il n’étant pas question de réaction ni de sa part ni de la part du collectif, je lui annonçais que j’aillais écrire au Parlement pour contester cette décision en mon nom propre. 


PARLEMENT EUROPEEN                                                                                 
Monsieur le Président
Avenue du Président Robert Schumann
67000 STRASBOURG
 Strasbourg 12 octobre 2008

Monsieur le Président,

Il est possible que ma lettre du 9 septembre 2008 où je contestais le qualificatif de « terroriste » que le Parlement européen donne à la résistance palestinienne ait été trop véhémente. Cependant elle ne reflétait pas autre chose que mon indignation devant les tentatives répétées de manipulation des populations françaises et européennes. En tout état de cause la réponse que m’a fait M Jean-Louis C……, Chef de division, est indigne de l’Europe.
 Pour tous ceux qui militent pour la paix au Proche-Orient, une paix où les droits des Palestiniens seraient respectés, les résolutions représentaient un espoir de voir enfin le droit triompher dans ces latitudes.
Cet espoir à été une fois de plus anéanti par une seule résolution, stipulant : « que le terrorisme devait en quelque sorte aussi cesser », reconnaissant de fait le caractère terroriste de la résistance palestinienne.
 Je voudrais vous rappeler que si le nazisme s’est développé en Europe, le fut à la faveur d’un manque de courage évident des hommes politiques de cette époque qui n’osèrent s’opposer à Hitler. 
 Vous n’ignorez pas ou vous ne devriez pas ignorer que le concept même de paix développé par les belligérants est antagoniste.  Et naturellement, les conférences et entretiens de paix de Camp David, Oslo etc… ou plus récemment Annapolis ne pouvaient qu’échouer.  Les Palestiniens veulent la paix mais aussi que leurs droits soient respectés cet a dire la « Paix par le Droit ». Et qu’ont le veuille ou non cela est tout a fait légitime et respectueux du droit international ainsi que des conventions de Genève. Les Israéliens veulent aussi la Paix mais par l’arrêt des hostilités c'est-à-dire, « la tranquillité pour ses citoyens ». Les droits des palestiniens n’est pas important, est secondaire on verra cela après !
Alors vous comprendrez bien que cette vision des choses ne puisse satisfaire les honnêtes gens, ceux qui croient encore au droit mais surtout à l’Europe patrie des droits de l’homme.
Je vous joints un fascicule, qui même succinct, retrace objectivement et admirablement ce conflit, qui dure depuis trop longtemps.  
Je veux bien croire que les députés ignorants du véritable drame qui se « joue » en Palestine se laissent phagocyter par des députés pro sionistes, comme j’en eu l’occasion d’en voir lors de la sous commission concernant les manquement aux droits des prisonniers par Israël où il fit l’amalgame entre les 11 000 prisonniers palestiniens dont plus de la moitié l’étaient par des arrestations administratives. Concept qui n’existe pas en droit français et que la logique voudrait qu’il soit basé sur des preuves irréfutables et non apocryphes  comme c’est trop souvent le cas.
 Le sionisme imagine par Théodor Herzl en 1896 et sa suite logique : l’Organisation sioniste mondiale crée au congrès de Bâle en 1897 est une organisation qui c’est exprimée et s’exprime au nom des juifs et au nom de la religion hébreu et il n’est pas difficile de deviner qu’ils ne sont que des imposteurs.
 Je peux mourir demain, je sais que je mourrais la paix dans l’âme et je demande à Dieu, s’il existe, qu’il continue à me prêter mon état de conscience actuel. Même si parfois, je considère la plupart des êtres humains comme des vulgaires charognards ou escrocs de la pensée. 

Veuillez agrées, Monsieur le Président, l’expression de mes salutations distinguées.


Copie à : Conseil de l’Europe.          PJ. Fascicule « 60 ans de mystifications » édité par la Librairie Résistances

Association France-Israël


Association France-Israël
Lors d’une manifestation où nous voulions attirer l’attention du citoyen sur les produits interdit d’entrée dans gaza, parmi lesquels ceux de première nécessité,  un membres du Collectif, où des juifs, musulmans et citoyens de toutes confessions militaient, un membre juif m'affirmait qu'un de ses coreligionnaires lui avait dit: « les Palestiniens devraient avoir une stratégie à long terme ! Qu’il fallait faire comme les israéliens. Que les colons n’allaient pas partir comme cela ! » Sous-entendu : (il fallait trouver une solution humainement acceptable !). Je répondis : D’accord mais acceptable pour qui ? Le regardant au fond des yeux, je lui ai demandé s’il se rendait compte de la niaiserie de ses propos ?  
1.      En Palestine il s’agit moins de stratégie que du Droit international.
2.      Les Palestiniens n’ayant d’armée n’ont aucun moyen d’imposer leur stratégie en admettant qu’ils en aient une.
3.   Pourquoi les palestiniens devraient se soucier des colons ? Le sionisme c’est-il préoccupé des 750 000 palestiniens déplacées par la violence en 1948 ?  des 6 000 000 de réfugiés Palestiniens ?  
4.    Le sionisme s’est-il préoccupé d’autre chose que de détruire les 531 villages.
5. Israël se soucie-t-il des palestiniens quand il démolit leurs maisons, détruit ses cultures, rend les déplacements extrêmement difficiles et laisses à la discrétion du planton de service, [...] tout cela et d'avantage, encore aujourd’hui ? ... Finalement je sortais de cette discussion, un peu amer, comment être efficace dans ces conditions si au sein même de ceux qui devraient militer pour que le droit international s'applique au Proche-Orient, il y en a qui s'en s'éloignent autant  ?
Le plus grave à mes yeux c’est qu’un militant en faveur des Palestiniens abonde aussi facilement dans le sens d’une stupidité exprimé d’ailleurs par quelqu’un qui ne faisait pas partie du collectif ! Cela apportait la preuve d’un manque évident de conscience politique de notre part, d’un débat d’idées qui nous aurait permis d’envisager de telles éventualités et d’y apporter un contre argument immédiatement.  Mise à part une provocation certaine de la part de l’individu, il nous jetait à la figure que les colons sont là et ils y resteront !  Personnellement, je pense qu’une des possibilités envisageables, serait effet, que les colons deviennent citoyens palestiniens et que les réfugiés souhaitant réintégrer leurs maisons deviennent citoyens israéliens. (ah ! ce n’est pas possible.) (Et pourquoi ?)

Dans réunion mensuelle, exceptionnelle, du 1er décembre j’exprimais, en passant, ma vision de l’intervention française au près du gouvernement israélien, suite à l’agression de Gaza : « que la France s’était compromis pour la première fois depuis Vichy avec un crime de guerre » et immédiatement fusait : « ce n’est pas la première fois ; l’Indochine, l’Algérie… » C’est vrai mais ce n’est pas ce que je voulais dire, en Indochine, en Algérie la France y était, si j’ose dire, partie prenante, et sans entrer dans des considérations, c’est belle-et-bien la seule fois après Vichy, que par l’intermédiaire du gouvernement Sarkozy, le France se compromettait, avalisait  les crimes commis par d’autres.   Évidemment il soit possible que par le jeu des « alliances » plus ou moins acceptables la France se soit  compromis, comme par exemple en Afrique, mais pas aussi franchement qu’elle ne le fit pour Gaza ou Sarkozy envoyait une vedette de guerre ou lieu d’un navire hôpital et posait avec les dirigeant Européens pour la photographie d’après banquet !  C’est purement et simplement « dégueulasse ». La France. Le peuple français ce n’est cela.   
Depuis le 26 décembre l'Égypte construit un « mur d’acier » souterrain. D’un enfouissement de 18 mètres et de 4 en surface d’une longueur de 11 km. à sa frontière avec Gaza. Financé par les USA et la France. La France n’a pas d’argent pour ses chômeurs mais finance à nouveau un Crime contre l’Humanité. Sarkozy à été élu par erreur la France n’est pas ça.

Le 11 novembre 2009. M Attali, dans l’émission « Ce soir ou jamais » de Frédéric Taddei, voulait justifier la politique israélienne par l’absence de leader. Abbas, en effet,  est, on pourrait le croire, en intérim. Je fais l’impasse sur d’autres approximations.  Cependant, quel leader plus charismatique que Yasser Arafat ? Cela, changea-t-il quelque chose ?
Un leader digne de ce nom, pourtant… (Cela changea-t-il quelque chose ?)
Les statuts de L’OLP ne reconnaissaient pas Israël, et c’est pour cela, entre autres, qu’Israël leur faisait soi-disant la guerre ! Yasser Arafat suite aux accord d’Oslo non seulement reconnut Israël mais encore ôta l’article faisant débat des Statuts de L’OLP, avez-vous remarque des meilleures condition de vie du Peuple Palestinien ?  Non seulement ce ne fut pas le cas mais Arafat fut cloîtré, emprisonné, pris en otage à la Moukata son quartier général à Ramallah, puis dit-on empoisonné. (Aussi difficile que cela paraisse, c’est possible ; toutes les denrées qui entraient étaient amenées par l’armé israélienne) CQFD Avez-vous entendu un gouvernement du très démocratique occident faire en sorte d’agir pour que Israël respecte Droit International ?  Yasser Arafat était considéré comme un chef d’Etat.

Il n’y a que la coercition pour ramener  Israël à la raison, l’expérience nous le prouve tous les jours. Un isolement en « bonne et du forme » suffirait à le faire revenir parmi les États civilisées. 

- Yasser Arafat à commis des actes terroristes, c’est vrai, du moins il était un des responsables des attentats pendant les J.O. de Munich. D’un autre coté il faut aussi reconnaître que tous les principaux dirigeants israéliens sont issus du terrorisme (Haganah, Irgoun, Stern…) au mieux coupables de crimes de sang.   Aucun homme intelligent, avec  état de conscience, ne peut soutenir les dirigeants de ce pays, même s'ils sont de très biens élèves et ont su tirer profit des erreurs du nazisme. Et si les criminels nazis assumaient leur crimes, le sionisme n’a pas industrialisé son entreprise criminelle, diabolise sa future victime et cherche les argument pour justifier ces crimes. Néanmoins, il faut reconnaître que le résultat est le même ; faire disparaître un peuple.

 L'épuration ethnique de la Palestine qui avait été programmé, comportait des massacres, les expatriations par la violence : ce que le sionisme a appelé  "transferts" comme l'avait recommande Théodore Herzl, c'est-à-dire l’expulsion manu militari de populations civiles vers les pays limitrophes. Pays où ils resteront des réfugiées Ad Vitam Aeternam. Ces populations sont des réfugiés qui n’ont droit à aucun statut juridique et même  si ces palestiniens acceptaient de devenir Libanais, Syrien, Irakiens, Jordaniens… ils ne seraient plus Palestiniens et par conséquence perdraient tout les "droit au retour"sur leurs terres. Ce que ces populations demandent c’est que : droit International s’applique au Proche-Orient. 
Le sionisme, quelque soit le degré de responsabilité dans nos démocraties, ne peut pas inventer des règles qui lui conviennent, l’intelligence c’est aussi d’accepter les règles que l’on impose aux autres. Il y a un Droit International qu’Israël,  les USA ou l’Europe bafouent outrageusement, pourtant l’honnêteté voudrait qu’ils ne puissent s’en départir.
Le Hamas que l’on diabolise tant, fournit des abris, fussent-ils de toile, en remplacement de la petite maison que le très "démocratique" gouvernement israélien démolit par centaines de milliers. Qui est le terroriste ? 
La plupart des autorités internationales sont, sur ce point des apostats de la justice ils déshonorent  le mandat que leurs électeurs leur ont confié. Prenons un seul exemple : Un député Alsacien, Strasbourg centre, Armand Jung (Vice-président de l’association  France Israël) à la tête d’une manifestation anti-iranienne arrangeait la foule contre l’Iran, pour l’assassinat d’une jeune fille tuée pendant les manifestations et dénonçait des irrégularités pendant  l’élection du Président iranien. Que l’on apporte son soutient à une population qui manifeste contre des tricheries, contre l’assassinat d’un innocent c’est parfaitement légitime, il n’y là rien de répréhensible, cela serait plutôt humain mais instrumentaliser la mort d’une jeune fille pour dénigrer un ennemi d’Israël n’est pas acceptable car ce Monsieur si prompt à soulever les foules à manifester contre la mort d’une jeune fille par la police ou l’armée iranienne n’a pas soulevé « le petit doigt » pour dénoncer les 1350 morts que ses amis israéliens avaient commis à Gaza et naturellement on ne l’a pas vu dans les manifestations que nous avions organisées contre ce massacre.
 Cet exemple pourrait être décliné à l’infini en Europe, aux USA dans tous les pays ou des associations faisant partie intégrante de l’Organisation sioniste mondiale assènent les citoyens du pays qui les accueille  de vérités qui n’en sont pas. Tiens à Strasbourg le CRIF ne manifestait pas pour les victimes israéliennes mais apporter un soutien à l’armée qui venait d’assassiner 1350 personnes dont les ¾ de civils et parmi eux 400 enfants ! En outre ils eurent l’outrecuidance, l’arrogance d’êtres sans état de conscience et qualifier les manifestations en faveur de Gaza de violentes incitant à la haine raciale parce des slogans clamaient : « Israël assassin » mais le CRIF défila lui dignement et en silence s’il vous plait. Bien évidement les morts étaient coté Palestinien. Nous ne parlons pas là de tricheries mais de massacre, de crimes contre l’humanité.  En effet, bombarder des civils qui ne peuvent fuir est un crime contre l’Humanité. Gaza subit un blocus partiel depuis 2007 et total depuis 2008. Le blocus est un acte de guerre, un blocus total cela veut dire que n’entre et ne sort que ce que le criminel veut, marchandises ou personnes. Nous avons reçu au mois d’octobre une délégation de Syndicalistes agricoles palestiniens, hé bien,  la délégation de Gaza n’a pu sortir, l’autorisation de se rendre en France leur a été refusé, c’est pas banal ! Pourtant toutes les démarches que le très démocratique gouvernement israélien avait demandées ont été faites !  Et je peux vous l’assurer ils n’avaient pas l’air, mais alors pas du tout l’air de terroristes. Des gens qui se demandaient simplement de quoi leur lendemain sera fait, voila tout. Nous ne pouvons continuer à cautionner les crimes israéliens. Ces crimes influent incontestablement sur les relations internationales du globe.

Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la Paix.


 Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la Paix.

- En fait c’est en lisant le livre d’Elias Chacour (prêtre, arabe et citoyen israélien) « J’ai foi en nous » que naquit en moi l’envie de défendre ce peuple victime non seulement d’une injustice mais d’une manipulation jamais exercée jusqu'à présent à travers le monde et tu connais mon aversion, ma répugnance pour le mensonge et la fourberie, cela devait être vers le mois de septembre de l’année 2000. Cependant ma conviction c’est que les manipulations exercées par l’ « Organisation sioniste mondiale » ne concerne pas seulement les Palestiniens mais les citoyens du monde, nous l’avons vu avec la diabolisation, exercée par les médias, de l’Irak, nous le voyons avec l’Iran, nous l’avons vu avec Durban II… et je ne suis pas sur du tout que les attentats du WTC aient comme réalité la seule vérité officielle ?
A cette époque je tentais de comprendre ce conflit par les information que me donnaient les grands medias, naturellement ma vision de ce conflit était totalement faussée. Les Palestiniens étaient, pour moi des gens : incultes des barbares ne sachant s’exprimer leur rancœur que par la violence. Et un jour un reportage sur Jérusalem, me fit comprendre que je faisais fausse route, que ce qu’on tentait de nous faire « avaler » était faux, un mensonge, une manipulation ! Ce jour-là : une télévision française interviewait un jeune étudiant New-yorkais, venu à Jérusalem étudier la Thora s’exprimant en ces termes : « Cette terre nous a été donné par Dieu, elle est par conséquent la notre ! Les Arabes il n’ont qu’aller ailleurs, il y a assez de place. »  Comment un être en pleine possession de ses facultés peut-il parler ainsi ? Là, j’en était sur, on se faisait manipuler, en France mais aussi ces pauvres jeunes à New York comme partout dans le monde où ils apprenaient leur histoire.  Pour nous Chrétiens : « histoire sacré » nous ne la confondions pas  avec l’Histoire-  mais dans la tête de ce jeune juif l’histoire sacré et l’histoire réelle se confondaient au point de lui absorber tout son sens critique, il était un zombi marchant dans la vie les yeux ouverts mais sans intelligence sevrée. Il avait l’intelligence qu’on lui avait inculquée. De la même manière le sionisme inculque la peur aux victimes de la Shoah.

De la même manière lors d’un débat télévisé un jeune étudiant, président des jeunes juifs de l’organisation juive «  CRIF » ou assimilé qui affirmait :
« Que le sionisme est le droit pour les juifs d’avoir un Etat et que la Shoah le leur autorisait ».
Primo       ; la Shoah est un crime, le crime des crimes, et un crime ne peut pas autoriser un autre crime.
Secundo   ; le sionisme c’est crée en 1897 et la Shoah eut lieu entre 1939 et 1945.
Il n’y avait pas là, quelque chose qui le dérangeait ?
Ce jeune n’avait pas encore l’intelligence sevrée, il répétait l’enseignement inculqué dès l’enfance !

En effet, le sionisme a parfaitement intégré ce drame  pour utiliser  l’influence des juifs à travers le monde et pérenniser son impunité, dont Israël quoi que l’on dise n’est qu’un  maillon dans sa stratégie globale, derrière « la terre promise » il y a « le peuple élu » et là… se sera un tout autre discours, une, tout autre affaire.  
Israël depuis qu’il s’est lui-même imposé la Charte des Nations Unies en 1947, n’a jamais respecté une seule des résolutions votées par le conseil de sécurité. Si ce n’est celle l’acceptant en son sein.  Et des êtres que je ne qualifierais pas prétendent qu’Israël est la seule démocratie de la Région ! Or ceux qui observent cet Etat, n’ont aucune difficulté à constater : un Etat raciste, va-t’en-guerre, hégémonique et despotique.  Or, l’honnêteté voudrait que l’on affirmât qu’il n’y a pas de démocratie dans cette Région du monde et lorsque une élection se déroule démocratiquement le très démocratique occident refuse le verdict des urnes  pour « choix non conforme » ! Comme se fut le cas de la dernière élection en Palestine, où, parce que le Hamas avait gagné les élections dans une parfaite transparence, le très démocratique occident (USA, Europe) s’empressèrent d’annuler les subventions qu’ils accordaient aux palestiniens et comme si cela ne suffisait pas cet occident démocratique se fit complice de crime de guerre à Gaza. 

 « Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec  Israël. C’est normal ; nous avons pris leur pays. C’est vrai que Dieu nous l’a promis mais en quoi cela les intéresse-t-ils ? Notre Dieu n’est pas le leur. Il y a eu l’antisémitisme, les Nazis, Auschwitz, mais est-ce de leur faute ? Ils ne voient qu’une chose : nous sommes venus et nous avons volé leur pays. Pourquoi l’accepteraient-ils ? »
Ben Gourion (premier, Premier ministre) déclarait en 1948  « Maison Rouge » siège général de la Haganah. 

L’histoire nous l’a enseignée et nous l’enseigne, tous les jours, qu’un sioniste n’engage sa parole que pour arriver à ses fins, après cela ne le concerne plus.  Comment voulez-vous construire une société dont les hommes n’auraient pas d’état de conscience ? Que l’on serait sur Terre pour thésauriser, que la cupidité serait élevée au rang de doctrine !  

«  L’on ne préserve pas son intégrité en portant atteinte à celle de l’autre »

LE COLLECTIF   Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la Paix. (CJACP)
En adhérant au Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la Paix (CJACP) je pensait structurer ma démarche et je me suis très vite rendu compte que nous ne militions pas tous exactement pour le même objectif. Qu’il y avait autant de paix que de membres, autant de paix que d’association ou organismes militant pour elle. Cependant je dois reconnaître que : si au départ l’argument fédérateur était  la défense de la résistance palestinienne, une idée forte c’est détachée depuis, celle de militer : « Pour le Droit du Peuple Palestinien », en quelque sorte « La paix par le droit », ce qui me convenait non seulement fort bien, mais encore bien d’avantage.
Que l’on le veuille ou non la défense du Peuple palestinien est toujours plus ou moins suspecte y compris aux yeux des membres juifs du Collectifs où parfois laissent l’impression d’être assis entre-deux chaises, il faut défendre le Droit des palestiniens tout en faisant des concessions à l’hégémonie israélienne.  Pourtant le Droit international protège ces deux Peuples, à condition qu’il soit respecté et celui qui ne respecte pas ce Droit, quoi que l’on en dise, c’est Israël. Sans parler des manquements aux Droits humains, l’occupation et la colonisation sont respectivement la « clé de voûte » et la « pierre angulaire » de ce conflit.  Le Droit ce sont les frontières de 1967. Les résolutions de l’ONU.
Bien sur  des esprits chagrin nous abreuvent de : « les Palestiniens doivent cesser le "terrorisme" » bien sur, cependant il fait reconnaître que les Palestiniens subissent, il ne tolèrent pas, la brutalité, l’harcèlement d’Israël et que leur résistance soit qualifiée de terrorisme démontre bien qu’il y a un disfonctionnements dans nos institutions.   C’est le « fort » qui a le droit de tolérer, le faible subit, dans ces conditions il est aisé de comprendre qu’Israël à le pouvoir de la paix pas celui qui subit. Naturellement la condition, sine qua non, est le respect du Droit international.    
Il me semblait important d’occuper l’espace des media, ne pas laisser dire n’importe quoi à n’importe qui. D’interpeller les politiques menteurs, intellectuels menteurs, ambassadeurs menteurs… quand à leur engagement ou leurs prévarications sur ce conflit. Je me suis heurté à un membre du bureau qui me fit comprendre que ma proposition était difficile à mettre en place, quelle était selon sa propre expression : « une usine à gaz » ! Sous entendu beaucoup de tracasseries pour un résultat aléatoire ou insignifiant !  En effet, le résultat de ma démarche dépendait du bon vouloir de ces média, mais j’estime aussi qu’il fallait que nous soyons nous-mêmes convaincus du bien fondé de ce principe. C’est ce que font les organisation pro sionistes imposant leurs vues  y compris aux homme politiques.
Comme l’a dit un membre du collectif lors d’un débat d’après projection : «  Les Palestiniens cherchent plus à survivre qu’à s’instruire, qu’a résister. Leur quotidien est un vrai parcours du combattant, comment pourraient-ils résister efficacement ?  Les sionistes s’ils sont des criminels, ils ne sont pas des idiots et savent qu’un peuple manquant d’instruction est un peuple perdu pour la communauté internationale.
Un jour, j’eus,  un jeu de mots malheureux, stupide je le reconnais et m’en excuse.  Le nom du Chef d’état major l’armée israélienne  qui mena l’agression contre les Palestiniens de Gaza s’appelait Ashkénazi (nom de guerre, tel que le firent nombreux d’entre eux, en 1948)  et je l’appelais (Ashké-nazi).  Un membre du Collectif, professeur de son état, me fit remarquer que le jeu de mot était révulsif et émanait, en quelque sorte de mon ignorance, usant de son savoir pour m’expliquer que les Ashkénaze étaient les juifs d’Europe. Et je sentais bien une brumeuse rumeur d’antisémitisme venait troubler ce qui m’était de plus cher : « la loyauté de mes convictions ». Je qualifiais ce monsieur de poltron. Car au lieu de d’imaginer mon ignorance il aurait du m’expliquer ce que qu’un juif Ashkénaze pouvait éprouver au lieu d’étaler son arrogance parmi les adhérent. Aujourd’hui je reconnais mon erreur, en effet ; je n’ignorais point le nom donné aux  juifs, principalement  d’Europe centrale, les  Ashkénazes. Mais à ma décharge, je dois dire que dans mon esprit il était question de faire, seulement, le rapprochement entre un criminel sioniste et les criminels nazis. Dans ce cas précis c’est lui le Juif, qui fit le rapprochement entre  (Ashké-nazi) et Juifs d’Europe. Je suis Honnête, sincère et loyal et je m’octroi la liberté d’aimer ou de ne pas aimer quelqu’un indépendamment de ce qu’il soit vert, bleu, blanc ou rouge.   
 Lorsqu’un membre demanda s’il pouvait ajouter dans ses courriers : pour une paix juste ? La présidente juive, au demeurant une personne de grande qualité et dont sa famille à grandement souffert du nazisme, lui a répondu : « que l’on militait pour la paix et qu’il ne fallait  pas jouer avec les mots ». (Sic) Pourtant, c’est un point capital, il ne peut y avoir de paix durable que si elle est juste et une paix juste doit respecter le Droit international.  Rien n’y fit et je trouvais même que le dit membre du collectif fut rabroué un peu trop catégoriquement.  C’était décidé j’allais militer pour le « Droit du peuple palestinien ».  Plus tard un membre de la première heure (le même qui me trouvait révulsif, oui je sais…) posa la question de savoir si en militant pour la résistance palestinienne nous ne militions aussi pour la Hamas, -Hamas qui prônait la destruction d’Israël- qu’il considérait comme une organisation terroriste et que par conséquent il n’était question pour lui  d’y participer. (J’ai su ultérieurement qu’il faisait partie d’une autre association affiliée au CRIF organisation raciste s’il en est).  Quelques jours plus tard un autre membre ancien parmi les anciens, lors de la réunion mensuelle, posa ingénument la question de savoir ce qu’il fallait répondre si on nous interpellait au sujet du Hamas. Cette question était perfide d’autant plus que le membre en question  écrivait des articles sur le sujet et par conséquent parfaitement au courrant de la réalité.   Concernant cette demande d’argumentaire, je me fâchais tout rouge,* moins par la question perfide que par le fait que l’on voulait me faire taire, et rétorquais que si lui-même n’étais pas convaincu du bien fondé de notre action, de la résistance du Hamas, comment voulait-il argumenter une réponse ?  Quelques jours auparavant il m’avait, justement, passé un de ces articles, que je jugeais incomplet et pouvant enduire en erreur, il me répondit qu’il n’écrivait pas du prêt à penser ! Que ce qu’il cherchait à faire c’était à faire réfléchir et me félicitait  de ma perspicacité. Comme il se foutait de ma gueule je n’ai pas insisté mai en ce qui me concerne je l’avis mis à découvert. En effet, si je n’avais été au fait de ce qu’il écrivait ma vision du sujet aurait été faussé.  Je n’en suis pas sur mais à mon avis il devait être un des membres assis entre deux chaises.  C’est aussi à ces infidélités que l’on sait à qui on a à faire.  Je ne pose jamais la question de savoir qui est quoi, de mon point de vue ce serait déjà chercher à faire une différence. Personnellement je ne cache pas ce que je suis mais je n’oblige personne à en faire autant.
(*) Je dois reconnaître que plus de deux ans après cette volonté de me faire taire est toujours omniprésente et m’exprimer n’est pas facile. La diplomatie n’est pas mon fort mais ce que je dis non seulement est sincère par conséquent audible mais s’avère très souvent vérifié par sa justesse. Je n’ai aucune difficulté à appeler un chat, un chat, ou un aigrefin, un escroc, qu’il fut de la pensée ou un voleur.

Hamas est une organisation politico-religieuse -comme l’est par ailleurs le sionisme- ayant fait scission  il est vrai avec les Frères musulmans Egyptiens. Prônant un Islam fondamentaliste. Contrairement au Fatah organisation laïque. Des  affrontements sanglants  ont émaillé leur parcours. Toutefois  la propagande sioniste accusant Hamas de terrorisme n’est pas fondée. Le Hamas a été élu démocratiquement tout comme peuvent l’être les gouvernements israéliens et Hamas n’est pas plus extrémiste que peut l’être le gouvernement Netanyahu.  Libermann dans une vraie démocratie serait cent fois en prison pour propos racistes et incitation au meurtre.  Et c’est ce gouvernement qui qualifié de terroriste une autre organisation ! Cela prouve, en tous cas, la probité de nos gouvernants qui soutiennent un tel Etat.

Traduction de « El Pais » journal espagnol, que j’envoyais aux membres du collectif :
Bonjour à tous, prenez le temps de lire cela vaut la peine. 

N’étant pas sur que les medias français abordent l’information sous cet angle, et avec la même objectivité,   je vous en fais part. 
Israël a utilisé des bombes au phosphore blanc et DIME contre les civils de Gaza.
L’ONG « Human Rights Watch » ramassa des restes de bombes dans des zones habitées.Jerusalén –
26/03/2009
L’Organisation internationale de défense des droits humains Human Rughts Watch (HRW) dénonça hier Israël l’accusant de crimes de Guerre » pour avoir utilisé bombes au phosphore blanc contre la population de Gaza. L’ONG présenta à Jérusalem l’information Pluie de feu : l’utilisation illégale de phosphore blanc à Gaza de la part d’Israël, et apporta des témoignages sur l’utilisation de cette arme pendant l’offensive militaire contre Gaza, qui eut lieu entre le 27 décembre et le 18 de janvier derniers.  L’utilisation de phosphore blanc n’est pas interdit, mais il y a des normes basiques internationales qui exigent de prendre toutes les précautions possibles pour protéger les civils, ce qui ne se fit pas avec ces armes à Gaza. Déclara l’agence « Efe Bill Van Esveld », cabinet juridique de HRW.   
En contact avec la peau, cette substance provoque de profondes brûlures et peut provoquer des blessures mortelles au foi, les reins et au cœur. Déclara un des auteurs  de l’information.  Selon Van Esveld, « blesser délibérément des civils sans obligation absolue constitue un crime de guerre, c’est ainsi que le détermine le premier protocole additionnel de la Convention de Genève "et" parce que cette norme fait partie intégrante des  conventions de Genève Human Rights Watch à recueilli plus d’une vingtaine de restes de bombes au phosphore blanc de 155 mm dans des rues résidentielles, des toits de maisons, une école de l’ONU, un hôpital, un marché et autres installations civiles. Les militaires utilisent le phosphore blanc pour masquer leurs opérations sous une épaisse fumée. Aussi pour incendier des aires déterminés avec les plus de 800 degrés centigrades qu’atteignent ces bombes.
Ces usages sont permis. Mais selon HRW, Israël utilisa le phosphore blanc de manière répétée dans des aires abondement peuplées, provoquant au moins 120 morts par brûlures non nécessaires parmi la population civile palestinienne.     
Israël dans un premier temps niait l’utilisation de phosphore blanc à Gaza, mais devant  les nombreuses preuves apportées qui firent la preuve du contraire, Israël déclara que l’armé les avait utilisée mais en concordance avec la légalité internationale.
Puis annonça, une investigation interne afin de vérifier s’il y a eu un usage inapproprié de cette substance. Indiqua l’ONG.   

Les forces du Chaos -1973



Nous sommes en 1973. Israël continue d’occuper et de coloniser le Sinaï et le Golan Syrien. Sure de son impunité, elle ne voit survenir l’attaque syro-égyptienne du « Kippour » (6 octobre 1973), qui sera repoussée avec l’aide d’un pont aérien américain… Les trois pays acceptent une résolution de cessez le feu soviéto-américainne (22 et 24 octobre).
 L’Egypte s’acheminera ensuite vers une paix séparée (1979) et l’alignement sur la diplomatie américaine, au détriment des droits des Palestiniens. La Syrie refusera ce compromis et le paiera par l’annexion du Golan par Israël (1981) et sa mise à l’écart par les puissances occidentales. Mais dans la guerre de 1973 et la suite, les deux pays n’ont eu que des visées nationales, et les ont soldées sans considération pour le Peuple de Palestine.
A la fin des années 70, l’URSS autorise une certaine émigration juive, au total 130 000 juifs émigrent, avec un maximum en 1979. Autorisés, dans les aéroports de transit (Vienne, Rome) à choisir leur pays d’accueil, la grande majorité opte à cette époque pour l’Amérique. A la fin des années 80, l’émigration est à nouveau permise. Israël vote la suppression des stations de transit en Europe, tandis que les USA limitent l’immigration russe. Aussi de 1988 à 2002, 950 000 russes s’établissent en Israël, dont près de la moitié se disent non juifs. Le renouveau du judaïsme russe conduit maintenant à des retours vers la Russie…  

« Dans l’activité exercée par les émissaires sionistes, nous voyons une certaine tension inhérente à l’attitude sioniste envers la "Galout" [Juifs hors de Palestine]. Etant donné que le sionisme idéologique ne croit pas, à long terme, à la survie de la vie juive hors d’Israël, ces shlihim [émissaires] sionistes qui sont envoyés d’Israël pour travailler dans les communautés juives de Diaspora et qui s’investissent dans le travail éducatif et culturel. Cependant ces shlihim s'investissent aussi dans des réunions ou mini conférences où ils tentent faisant référence aux pogroms ou à la Shoah de convaincre leurs auditeurs du bien fondé de la politique sioniste, qu'Israël applique en Palestine.  »
Steve Israël, « Les relations Israël-diaspora », cours du Département d’éducation sioniste juive :  http://www.jafi.org.il/education/100/french/concepts/isdias08.htlm

Début 2009 on me recommanda d’aller voir le film : Milh Hadha Al-Bahr  (Le Sel de la Mer) réalisé par Anemarie  Jacir.  
Synopsi : Soraya, 28 ans, née et élevée à Brooklyn, décide de rentrer s'installer en Palestine, le pays d'où sa famille s'est exilée en 1948. Dès son arrivée à Ramallah. Sa route croise alors celle d'Emad, ce film retrace son épopée à travers la Cisjordanie et Israël pour tenter de récupérer l’héritage de son Grand-père gelé à dans une banque à Jaffa mais elle se heurte au refus de la banque. Ensemble ils tentent de retrouver les villages qui remplissaient les rêves de leur enfance et qui n’existaient plus. Emad ne rêve que d’immigrer aux Etats-Unis alors qu’elle ne rêve que de pouvoir rester.
Bien, à la sortie un débat était organisé par Amnesty International (Alsace) sur, disaient-ils, le film. Dans les faits un « émissaire » se disant médiateur du gouvernement israélien dans les territoires occupés ! Il commença sont exposé  par les « Pogroms » qui s’étaient déroulés en Russie et enchaîna par la « Shoah ». Comme je me levais pour partir, il me pria d’attendre. Je lui répondis que s’il veut parler des pogroms et de la Shoah je n’ai aucun problème la dessus, que s’il veut parler de la Naqba et de l’épuration ethnique de la Palestine je n’ai là non plus aucun problème pour en parler, mais faire l’amalgame des deux relève de la manipulation.
  Les Arabes refusent la décision de l’ONU sur le partage de la Palestine. En effet, les  populations concernées ne furent-elles consultées, comme l’exigeait l’article 22 de la charte et tel que le stipulait la convention sur le le mandat, que la Société des Nations accorda aux britanniques ?
Dans ces conditions pourquoi prendre  comme prétexte le refus des pays Arabes ? Sans compter le caractère injuste et léonin de la partition.
Théodore Herzl, intellectuel conservateur de l’empire Austro-hongrois publie « L’État des Juifs »  -un essai sur la question juive- faisant référence aux persécutions et violences anti-juives en Europe principalement de l’Est. Il en résultait un afflux de Juifs dans les autres pays et l’Autriche, passage presque obligé pour ces réfugiés, du faire face à ces populations d’où l’idée pour Herzl de palier à cet exode. Séparant les classes auxquelles il était bien attaché, Herzl s’inspire des sociétés de colonisation capitalistes comme Léopold 1er au Congo, Cecil Rhodes en Rhodésie… pour son projet il rêve déjà d’épuration ethnique… 
Ne déclarait-il : « Inciter la population démunie à traverser la frontière en la privant d’emploi… le processus d’expropriation et le retrait des pauvres doivent être menés discrètement et avec circonspection. »                      
Théodore Herzl, parlant des Arabes de Palestine, Notes complètes, 12 juin 1895.
Qui est cet Herzl pour parler des pauvres comme d’une maladie ? Cela prouve au moins que rien n’arrive par hasard ! Il avait, par conséquent, dès 1896 l’idée de ce qu’allait devenir d’après lui la Palestine. Il jetait les bases su sionisme tel que nous le vivons aujourd’hui. Organisations Créées ad hoc, démarches préparatoires visant à justifier d’un point de vue légal ce qui aujourd’hui est illégal. Pour moi c’est très clair. C’est exactement le procédé israélien d’aujourd’hui, avec une légère différence c’est qu’Israël justifie ses crimes y compris illégaux. Comme par exemple les représailles suite à une action violentes palestinienne qui elle-même faisait suite à une provocation israélienne ou à une suite d’harcèlements devenus insupportables.  Néanmoins lorsqu’on est au fait des événements on s’aperçoit que ces représailles ne le sont pas, mais quelles font parti d’un processus logique mûrement réfléchi (Provocation, représailles.) visant à opprimer encore et toujours.

Au premier congrès sioniste de Bâle le 19 août 1897. Herzl définit son objectif pour la création du « Foyer juif en Palestine garanti par le droit public »  il recommande :
1.     L’encouragement systématique de la colonisation de la Palestine par l’établissement d’agriculteurs, d’artisans, et d’ouvriers juifs. Mais ne demandait l’immigration des riches Juifs.
2.     L’organisation et fédération de tout le judaïsme au moyen de sociétés locales et de fédérations générales dans la mesure où le permettent les lois.   
3.     Le raffermissement du sentiment juif et de la conscience nationale du peuple juif.
4.     Des démarches préparatoires  afin d’obtenir des gouvernements le consentement nécessaires pour atteindre  le but du sionisme. Ces quatre recommandations contiennent les composantes de toute l’histoire du sionisme réel : colonisation, création d’une société de remplacement excluant la population arabe, organisation mondiale du sionisme, lobbying permanent des puissances capitalistes.

 « À l’extérieur on a coutume de croire qu’Israël est presque vide ; rien n’est cultivé ici et que quiconque veut acheter de la terre n’a qu’a venir et acheter selon ses désirs. En réalité, la situation n’est pas celle là. Au travers du pays il est difficile de trouver de la terre cultivable qui ne soit pas déjà cultivée. » (…) « Si, un jour, la vie de nos fiers juifs en Palestine se développe au point de refouler les habitants du pays sur une petite ou une grande échelle, alors ces derniers ne céderont pas facilement leurs places… »
Ah’ad Ha-am, philosophe Russe, commentant sa première visite en Palestine en 1891.

Si nous ne respectons le Droit international, si certains gouvernements se croient au dessus de lui, non seulement c’est un laissez-passer aux autres despotes de la Terre, mais encore on n’est pas loin de la horreur, du chaos.
Israël n’a pas respecté une seule des résolutions de l’ONU depuis 1948, en fait depuis sa création, ce sont plus de soixante condamnation qu’Israël a jugé utile de ne pas observer, sans compter toutes celles qui ne sont arrivés jusqu’au vote par le veto américain. Si l’occident avec les USA et L’Europe chantres de la démocratie à l’origine du Droit international et des Droits de l’homme nous soutenons ces gouvernements, il ce n’est fini de notre Histoire.
Si la France à la particularité exemplaire, dans l’échiquier mondial, l’initiateur en 1789 de ce que sont les Droits de l’Homme aujourd’hui. Si la France  qui a vu naître René Cassin, l’homme le plus important dans la rédaction de la Déclaration Universelle des Droit de l’Homme,  refuse l’application de ces Droits la France n’est  plus la France à la rigueur un amalgame d’intérêts divers !  Le rôle de la France n’est pas de soutenir des crimes contre l’humanité, ce n’est pas la vocation universelle qu’elle s’est elle-même donnée.  Aujourd’hui par le gouvernement Sarkozy  la France à renie son histoire. D’un point universel mais aussi national.

600 ans avant Jésus-Christ les religions s’étaient chargées de répondre à toutes les questions que les hommes se posaient. Ces explications se transmettaient de génération en génération sous la forme de mythes.  Un mythe est un récit sur les dieux qui voudrait expliquer les phénomènes naturels et humains.   Les philosophes ont aussi une conception mythique du monde. Des philosophes, des intellectuels échafaudent des conceptions pour expliquer ce que l’homme ne comprend pas toujours, et en ce qui concerne les philosophes juifs ces conceptions se confondent avec l’histoire !
Je poursuis : Les sionistes prétendent, ou du moins  c’est le mythe par lequel bon nombre de juifs se sont laissé séduire, qui est celui de «  La Terre promise par Dieu ! » excusez du peu. Dieu est une être spirituel, comment un être spirituel peut-il accorder un bien  matériel ?   La réalité qui voudrait que les juifs aient droit à la Terre promise  parce que donnée par Dieu est un mythe. Ce mythe ne s’explique pas autrement que par la volonté de donner un cadre religieux/historique devant rallier la communauté toute entière. Les religieux au congrès des Rabbins de France qui eut lieu à Strasbourg en 1936, suite aux événements de « Nuremberg » donnèrent l’impulsion définitive au sionisme. Aujourd’hui encore cette prise de position qui se voulait au départ humaine, c’est transformé en une rapine, épuration ethnique, spoliation sans que ces mêmes autorités interviennent pour réorienter leur discours dans le vrai sens humaniste. Ce qui me fait dire qu’il y a des religieux complices des crimes sionistes. (D’après des juifs, le Pape Pi XII chef spirituel des Catholiques se serait, par son silence pendant la Shoah, rendu coupable de complicité). Pourquoi dans ces conditions devrions-nous faire abstraction de la complicité, que représente aussi le silence des instances rabbiniques sur les crimes sionistes ? 
Dans l’armée israélienne des rabbins endoctrinent des jeunes soldats qui s’avèrent être les plus fanatisées ! Ces mythes élevés au rang de vérité absolue par une partie de la communauté ainsi fanatisée nous permet de comprendre pourquoi la plupart d’entre eux refusent d’admettre que le terrorisme islamiste prend son comburant dans le conflit israélo-palestinien.      (Comburant : corps qui en se combinant avec un autre donne lieu à la combustion de ce dernier.)