jeudi 22 septembre 2011

Israël s'est fondée sur un crime


Israël s'est fondée sur un crime

Le français n’était pas ma langue :
N’ayant pas été à l’école française, n’ayant pas appris le français avais-je avoir la capacité d’écrire aux potentats de ce monde pour leur exprimer mes craintes ? Je savais d’entrée que je n’allais pas faire de la littérature, me faire comprendre était ma seule ambition, les fautes d’orthographe, de grammaire, de syntaxe  m'étaient égal seuls les êtres que je méprisais déjà pouvaient ne pas comprendre. Depuis quelque temps je soupçonnais les services secrets israéliens (le Mossad)  d’être la « pierre angulaire » du désordre au Proche et Moyen-Orient tout comme je soupçonne l’organisation sioniste mondiale d’être la « clé de voûte » du désordre mondial.   Pouvais-je garder cette évidence pour moi ? Évidence que les élites de la planète n’ignorent et laissaient pourtant faire, le remords de la Shoah, sans doute, à moins que comme l’Histoire du sionisme nous l’a démontré, qu’il n’y ait eu quelques arrangements. Qui lorsqu’ils  se réalisent au détriment d’un tiers cela s’appelle « COMPLOT ». On peut changer le sens des mots, on peut vouloir leur donnait une autre signification mais moi j’appelle cela « COMPLOT ».

Le remords de la Shoah imprègne nos subconscients, ne nous autorise à exprimer avec force les constats que nous  faisons. Nous nous autocensurons réduisant d’autant la force de notre argumentation, par cette retenue nous justifions les crimes qu’en temps normal nous aurions dénoncés sans état d’âme.  Il faudra aussi soutenir avec humilité et loyauté le peuple Palestinien y compris lorsque l’accusation d’antisémitisme se fera jour. Le conflit israélo-palestinien n’est pas un conflit normal, avec un « bon » et un « méchant » Il fait appel : aux mythes, a l’antiquité, au sentiment religieux, au remords, aux craintes. Je n’ai pas vu, une seule fois, un débat ou une discussion qui aie pour objet ce conflit, se passer « normalement » on se recommande de Dieu pour justifier des crimes, la loi (des hommes) qui a permis l’existence de l’Etat d’Israël est bafouée par ceux-la mêmes qui en ont bénéficie !  Il faudra par conséquent résister au qualificatif barbare par lequel l’on voudrait qualifier ceux qui militent pour le respect du Droit international, les des Droit du Peuple palestinien et sont qualifiés d’antisémites quand Dieu et l’Histoire n’offre plus de porte de sortie à ces racistes.  On qualifie d’antisémite celui qui ne demande en fin de compte que le Droit International s’applique au Proche-Orient. Les crimes que le sionisme commet en Palestine ne peuvent recevoir de bénédiction par les souffrances que les Juifs ont endurées. Les victimes d’un génocide peuvent-elles à leur tour en commettre un ? Car en Palestine il s’agit belle et bien d’éradiquer un peuple, la méthode est certes moins brutale que le fut la Shoah, à plus petite échelle mais le but recherché est le même celui de priver un peuple de sa terre de sa patrie, de son existence même. Cette terre est la terre des trois religions monothéistes, il fallait donc y venir en frère créer un foyer pour les juifs avec les êtres qui vivaient sur ces terres depuis 6 000 ans. Avec eux pas à leur place. Comment le sionisme a pu croire qu’il pourrait s’installer à place des Palestiniens Juifs, Musulman, Chrétiens ?   C’est très exactement ce qui peut être reproché au sionisme.    
Un aspect de ce conflit que aucun homme politique ne met en avant et je le fis à Sciences Politiques de Strasbourg  où le conférencier s’appelait Jeff Halper (un anthropologue israélien faisant partie de ces israéliens qui aident  un peu les palestiniens, mais qui n’est pas pour la solution à deux Etat !) venu pour nous entretenir de la destruction de l’habitat  civil palestinien par l’armé d’occupation en Cisjordanie et cela sur des motif non seulement apocryphes mais aussi les plus ignominieux.  Je lui posais la question de savoir : « qui ou quoi favorise l’impunité dont bénéficie Israël. » Comme il me répondait à coté de la question je quittais la salle.   Dans la salle il y avait des membres du collectif (certains haussèrent les épaules ou eurent  une attitude désapprouvant ma question), des étudiants de Science-Po, des citoyens mais aussi des membres d’autres associations et je pense qu’il n’avait pas envie de dire la vérité ou tout du moins ce qu’il en pensait et tentait en me retenir, de me faire comprendre qu’il souhaitait  me rencontrer après le débat.  Pour être tout à fait honnête je doute que sa réponse m’ait satisfait du fait même qu’il n’est pas favorable à une solution à deux Etats. Or au point où le conflit en est arrivé, le manque confiance entre les deux communautés se témoignent il est logique de penser que la vie en commun ne puisse être, du moins pour le moment, possible. L’intelligence devrait permettre d’éduquer les enfants pour que, eux, puissent y arriver mais là aussi la stupidité de l’homme a pris le pas sur l’intelligence.

Israël est fondée sur un crime prémédité, quoi qu’en dit le sionisme et les associations créées ad hoc.

Entre 1920 et 1921.  Les aspirations arabes sont systématiquement bafouées. La conférence de San Rémo de 1920 instaure dans différentes régions  du Proche Orient des « mandats » censées préparer les peuples à l’autodétermination. La « déclaration Balfour » est incluse dans le mandat attribué par la Société des Nations, au mépris de l’article 22 qui fait obligation au Mandat d’obtenir l’accord de la population palestinienne… (Juifs, Musulmans, Chrétiens)
La Société des Nation (SDN) attribue la Palestine à l’Angleterre. L’article 4 du mandat stipule  « qu’une Agence juive appropriée serait reconnue comme organisme officiel et apporterait à l’administration de la Palestine ses conseils et son aide sur toutes les questions économiques, sociales ou autres ayant rapport à l’établissement du Foyer National Juif et aux intérêts de la population … L’organisation sioniste sera reconnue comme étant cette Agence » !
Les dispositions de cet article ont permis à l’Agence juive d’être un Etat dans l’Etat. En effet, elle dirigeait tous les secteurs juifs de l’économie du pays ; elle avait ses hôpitaux, ses services sociaux, ses écoles et son service de renseignements.
De plus d’après A. Koestler "tous les fonctionnaires Juifs du gouvernement servaient d’indicateurs bénévoles, l’Agence Juive dirigeait une organisation militaire indépendante, la Haganah, noyau de la future armée israélienne".  Le premier Haut commissaire du Mandat Herbert Samuel, ancien Ministre de l’intérieur du gouvernement britannique, est Juif. Il est donc aisé d’imaginer que l’agence Juive se nourrissait quotidiennement de la complicité de l’administration mandante. 

La SDN attribua le Mandat à l’Angleterre avec obligation d’y inclure les populations dans le processus devant les mener à l’autodétermination.  Comment se fait-il que cet article ne fût respecté par l’ONU ? Comment se fait-il que le Mandat britannique ayant pris un engagement avec la SDN s’en trouvé dispensé avec L’ONU ?  
Qui peut croire que l’acceptation de l’article 4 ne faisait pas suite à un « arrangement » ? Moyennant…

lundi 19 septembre 2011

Shamai Leibowitz


Le conflit du Proche-Orient

Le conflit du Proche-Orient jusqu'à il y a encore quelques dix ans était particulièrement abscons pour le citoyen lambda, alors même que depuis 1948 est devenu intolérable. C’est un indice significatif sur les moyens que possède l’Organisation sioniste mondiale pour manipuler les citoyens, mais aussi une formidable machine de guerre pour brider le citoyen qui émet des idées contraires à leur intérêt. 
Ces hommes n’ont pas tiré les leçons de la Shoah !

Ce sont des faits, rien n'est ajouté ni enlève ! Kouchner, (français et sioniste notoire a rendu l’humanitaire rentable !)  Dès le début de sa nomination voulait faire la guerre au Hezbollah, au Hamas, à la Syrie, à l’Iran, il critiquait même Poutine pour son soutien à l’Iran et qu’il a du se rétracter publiquement lors de sa visite à Moscou. Le Ministre français des Affaires étrangères ne faisait pas là, la politique de la France mais celle d’Israël. Pourtant ce pays venait de mettre à feu et à sang le Liban sur l’unique prétexte que le Hezbollah avait « enlevé » fait prisonniers, serait plus juste, deux soldats israéliens. Il me semble que deux soldats enlevés ou faits prisonniers ne peut justifier un tel déferlement de violence dont le Liban mettra 20 ans à s’en remettre. Un autre exemple significatif celui de Dominique Strauss-Kahn alors Ministre à Bercy interviewé sur la dette déclarait : « l’important n’est pas la dette mais la capacité de remboursement ». Nous voyons aujourd’hui en 2009 où en est la capacité de remboursement ! Ces hommes politiques hypothéquant l’avenir d’une nation à ce point, n’ont rien à faire en politique. Il s’agit de l’avenir de nos enfants ! Si nous tenons compte, rien que de ce fait, sa place au FMI n’est pas du à son mérite personnel ! 
Tous les pays du Proche-Orient on des difficultés à reconstruire ce qu’Israël détruit, pourtant Israël n’a aucune difficulté, lui, à construire et construire encore des colonies en Cisjordanie, ses investissement militaires sons pharaoniques, pourtant on ne parle pas de ses déficits ni d’où vient l’argent !! Nous savons que le contribuable Américain  subventionne Israël, mais l’on sait aussi que c’est nettement insuffisant !  Dans ces conditions quelle est l’origine des fonds.
Sur la toile ont peut trouver la liste des multinationales qui financent sont effort de guerre, alors même qu’Israël n’est pas un pays en guerre mais un État colonisateur devant faire face à une résistance légitime.
L’ONU a clairement attribué des frontières en 1967 qu’Israël feint d’ignorer ! Le Droit international protège ces deux Peuples, pourquoi dans ces conditions Israël s’obstine à passer outre, depuis 1948 Israël n’a pas respecté une seule des  résolutions de l’ONU,  sans compter celles qui ne sont allé jusqu’au vote par le veto des USA !  
Un fait indéniable de la toxicité de l’Organisation mondiale sioniste, ses visées colonialistes sont présentées comme un bien, il s’agissait de la création du Foyer Juifs ! Malheureusement il se réalise au détriment du peuple Palestinien, alors même qu’ils étaient les partenaires naturels.

Le très "démocratique" état d’Israël par son Premier ministre Benjamin Netanyahu fait les tour des ses « parrains » en ce mois de juin 2009 et tente de faire accepter le principe de la colonisation ou/et extension de ces dernières alors même que cet état voyou ne permet pas, par la fermetures des frontières à Gaza se reconstruise ce qu’il a lui-même détruit. Un après Gaza est toujours un champ de ruines et un million et demi d’êtres humains vivent pour la plus part sous la tente et n’ont pas les strict minimum à leur survie, y compris pour les enfant qui manquent du strict nécessaire ou des médicaments, hypothéquant même leur développement futur…
 Dans aucune des réunions ou colloques cet aspect n’est évoqué et c’est surtout les « sourires et courbettes » serviles de nos dirigeants politiques qui sont mis à l’ordre du jour. C’est absurde, c’est navrant, c’est affligeant. C’est une erreur. ET je passe sur les expulsion et démolitions des maisons de Palestiniens en Cisjordanie  (Aujourd’hui 26 décembre 2009, un courriel m’informe de l’expulsion en vue de démolition de : Cinq mille Palestiniens natifs de la ville d'Al-Quds sont menacés d’expulsion de leurs maisons [25/12/2009 - 17:01] 
Non vraiment il faut que la société civile se mobilise face à la prévarication de nos élus. 
« Bien sûr, j’aimerais conclure un accord de paix. Mais il ne peut y avoir de paix entre occupant et occupé ; c’est comme si on demandait qu’il y en ait une entre le violeur et sa victime pendant le viol même.  L’occupation doit d’abord prendre fin parce que c’est un crime moral.  Ensuite nous pourrons discuter d’arrangement à long terme ».   -Shamai Leibowitz, Avocat et petit-fils du célèbre philosophe.

Comment des êtres apparemment doués d’intelligence ont pu croire : « Qu’ils pouvaient, préserver leur propre intégrité, en portant atteinte à celle d’un autre ? ».                                                                 

Journalisme de révérence et de déférence


 Journalisme de révérence et de déférence.

Quelque soient les convictions louables ou non d’un journaliste il doit s’efforcer, d’abord, a transmettre l’information objectivement indépendamment, justement,  de ses convictions. Il doit faire connaître les tenants et les aboutissant d’un  sujet pour que le citoyen puisse se faire, lui, son opinion.  L’opinion du journaliste est forcement personnelle et par conséquent partisane. Le citoyen a besoin de se faire sa propre opinion et non absorber celle du journaliste, l’information n’est pas propagande.

Quelle qu’elle soit la cause à défendre, un journaliste ne peut pas manipuler l’opinion.

Il faut reconnaître que depuis que le conflit israélo-palestinien se fait de plus en plus présent sur le Web, que les citoyens sont de plus en plus informés le sionisme prend « du plomb dans l’aile » chez le citoyen qui sait, comme pour la religion, avoir la bonne lecture, le bon décryptage des événements. Las autres ? Ô mon Dieu. 
Il est évident que les attaques israéliennes contre le Hamas (cautionnés par la presse occidentale) n’ont pas d’autre objectif que d’éliminer une résistance ouvertement déclarée. Ce qui est également a déplorer, c’est que les civils payent de leurs vies l’audace d’avoir voté -démocratiquement- pour un parti, fuisse-t-il politico/religieux. Gaza est sous embargo partiel depuis juillet 2007 et du blocus total depuis janvier 2008. Quel être humain digne de ce nom ne peut admettre que ces femmes, hommes, enfants compris, face à la prévarication de nos élites, ne se révoltent ? 
La trêve devait permettre l’arrêt des tirs de mortier et des roquettes, elle devait aussi permettre de desserrer l’étau inhumain du blocus. Israël n’a pas jugé utile de desserrer l’étau, ni de respecter la trêve, pourquoi la résistance Palestinienne aurait du, elle, la respecter ?   L’époque actuelle est principalement marquée par les déclarations des va-t-en-guerre et leurs valets médiatisés visant à vider de toute substance  les déclarations  de leurs actes criminels. 

Les journalistes, nouveaux acteurs des relations internationales - Barack  Obama, International, Médias,  Oumma.com  Mardi 18 août 2009 - par René Naba . 
I. Les Journalistes de brocante (journalistes académiques, journalistes d'importance, crypto journalistes etc.) Les journalistes académiques appartiennent à une catégorie qui pratique le journalisme institutionnel, appliquant les règles de la  profession stricto sensu sans éléments de pondération ou d'évaluation. Ils veillent à un équilibre formel de l'information dans une sorte d'équidistance indifférenciée, oubliant que l'équité consiste à traiter inégalement une situation inégale. Cela se traduit par une transmission des communiqués sans état d'âmes particuliers, sans jugement de valeur, en fonction de la source de l'information et de sa position hiérarchique.  La compétence est fonctionnelle en somme. Le journaliste dans ce cas de figure opère comme un fonctionnaire dans des entreprises de presse, un bureaucrate de l'information. Aux Etats-Unis, 40 pour cent de ce qui est publié dans la presse est directement reproduit, sans altération, des communiqués des « Public relations ». Un objectif identique est recherché en France par M. Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP  et exécuteur des basses oeuvres du sarkozysme dans sa tentative de mise au pas de l'Agence France Presse (AFP), la plus importante entreprise de presse française.
Des journalistes d'importance se considèrent comme la caste nobiliaire de la profession. D'un narcissisme exacerbé, ils se bercent de l'illusion de participer à la définition des relations internationales, à la bataille des idées. Ils sont sensibles aux marques d'égards personnels à leur encontre, oubliant hâtivement que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute. Sensibles à la flatterie, au tutoiement, aux agapes politiques, ils sont consciemment ou non des exécutants fidèles d'un travail fait en amont. Amplificateur du bruit médiatique, ils constituent une formidable caisse de résonance. Ce journalisme de révérence et de déférence est érigé en journalisme de référence, ou dans sa variation la plus récente, en journalisme de validation, c'est-à-dire un journalisme qui se borne à confirmer la véracité des faits rapportés par d'autres journalistes, au péril de leur vie. Une sorte d'arbitre suprême des élégances de la faune journalistique française, un usage propre à la profession journalistique en France. Walter Lippmann, journaliste au New Republic puis au New York Herald Tribune a inauguré ce journalisme-là, un journalisme élitiste, en fait un journalisme de personnes se considérant comme une élite, supposé dispenser le peuple de la complexité des choses. Chantre du néo-libéralisme, l'auteur de « Public Opinion-2002 », puis de « public Fantome (Demoplis/ Paris 2008) » Walter Lippmann a théorisé la relative impuissance et l'incompétence des citoyens ordinaires, les citoyens de base, à appréhender les complexités du monde.  « La manière de sélectionner, de présenter et de censurer un fait peut avoir une importance sur sa réception, par conséquent sur le destin des événements » , écrit-il. Cet aveu de Walter Lippmann prouve à l'évidence que la manipulation   de l'information n'est pas l'apanage exclusif du totalitarisme.

II. Les journalistes de légende. Le journaliste de légende représente une incongruité dans le paysage  médiatique, car il se vit non comme un partenaire mineur  du gouvernement, mais un observateur majeur de la vie politique. Il ne  pratique pas le devoir de référence ou de déférence, mais un devoir d'impertinence.
Sa grille de décryptage ne relève pas d'une lecture linéaire des phénomènes politiques et sociaux, voire d'une lecture nourrie de présupposés, mais d'une lecture fractale, une lecture en contre champs des événements et n'hésite pas, le cas échéant, à penser contre son propre camp, si besoin est.  



Le journaliste n’a pas à faire connaître son opinion ! En tout cas il n’a pas à défendre des intérêts particuliers, il n’a qu’une chose à faire connaître : « la vérité ».  Son opinion équivaut à celle du citoyen et peut l’exprimer  loyalement entant qu’expert d’une question ou en expliquant clairement du pourquoi de son engagement, du pourquoi de l’orientation de son discours, il devient un citoyen et à ce titre il a les mêmes droits à exprimer son opinion que n’importe quel autre citoyen.  Ce sont les journalistes, communément appelés : journalistes de bazar (brocante),  qui ne respectent pas la déontologie.   Il me parait évident que nombreux sont les journalistes qui se vautrent dans l’idéologie sioniste, par accointance, crainte ou carriérisme. Pourtant le sionisme est ce que l’homme a produit de plus négatif pour le genre humain depuis le nazisme, qui à la différence du terrorisme islamiste se présente à l’homme comme un bien  alors qu’il cherche à asservir l’homme. 
Les émission de géopolitique son quelque fois intéressantes et instructives, cependant dès que le sujet en est le conflit israélo-palestinien les journalistes de bazar perdent toute objectivité, les manquements à la déontologie  y son nombreux et non seulement manipulent le citoyen français mais l’induisent en erreur. Il n’est pas acceptable que des invités de ces émissions, parce qu’ils sont Ambassadeurs, puissent déblatérer des mensonges et les contrevérités d’un schizophrène psychopathe sans qu’il soient repris et réorienté. Le responsable de l’émission, le journaliste présentateur de ces débats devrait être au fait du sujet qu’il traite afin que dans son émission des mensonges ne soient ainsi distillés. Les contradicteurs sélectionnés en fonction de leur compétence et capables, le cas échéant, de réorienter, de recadrer le débat, dans le sens de l’histoire –la vraie- sans cela ces débats n’ont aucun intérêt si ce n’est celui de manipuler le téléspectateur. En laissant de coté ces experts autoproclamées choisis pour leurs origines nous donnant la vision rudérale de leurs chimères. C’est sous une dictature ou dans un pays totalitaire que le despote au pouvoir utilise les media comme un outil de propagande ayant comme objectif de brider le citoyen au lieu de l’éveiller et en faire des citoyens responsables. Qu’ils aient un autre rôle dans la vie que celui de produire une valeur ajoutée accaparée par des aigrefins de la politique et de l’économie et puissent, eux aussi, avoir le loisir de choisir le sens qu’ils veulent donner à la leur vie.

Habeas corpus - L'échec d'Oslo


Habeas corpus

Pourquoi sommes-nous sur terre ? Pour vivre les 75/80 ans du mieux possible ou pour thésauriser, ce qui contrairement aux Pharaons, nous  n’importerons pas dans la tombe !

Pourquoi Oslo fut un échec pour le Proche-Orient

Martin Luther King avait fait un rêve, la signature des accords d’Oslo le 13 septembre 1993 ouvrait la porte à un autre rêve, celui de voir enfin les Palestiniens et les Israéliens réaliser une paix durable, jusque-là inaccessible.
Le 4 novembre 1995, Yitzhak Rabin est assassiné par un étudiant juif religieux fanatique. (*)
Les négociations, les sommets diplomatiques se succèdent pour tenter de sauver ce qui peut l’être, à chaque fois comme par le passé les espoirs diminuent à chaque sommet. Mensonges, promesses non tenues, occasions manqués à nouveau les entretien ne servaient qu’a tenter de faire plier Yasser Arafat aux desiderata israéliens, aidés en cela par les diplomates américains. Pourtant jamais les négociations n’avaient été si près de réussir, Oslo ne fut qu’un cauchemar.
(*Mais le CRIF continuera à clamer, parce que c’est leur intérêt : il y a en France une montée de l’antisémitisme !)

Mon incompréhension est totale face aux média :

Il est gratifiant pour l'ego de peser sur les relations internationales, au point que beaucoup le vivent,  tout le moins au sein de la corporation journalistique, comme des acteurs majeurs de la politique mondiale, au point de s'imaginer de participer à une aventure humaine exaltante, le remodelage de la planète.
Ma voie était tracée : désormais je me consacrerais à militer pour le Droit du peuple Palestinien, je contesterais, à chaque fois qu’il me sera possible, les contrevérités, arguments apocryphes, mensonges et les approximations manipulatrices des media, des personnalités aussi bien de la sphère intellectuelle que politique qui se vautreront dans des demi-vérites, mensonges ou argumentation équivoque. Je vais m’efforcer de dénoncer les manipulations  exercées en France par les médias faisant allégeance  à Israël et au sionisme. Ces médias fiers de leur ignorance, pensent que les Palestiniens étaient un obstacle au foyer juif alors qu’ils étaient les partenaires naturels qui leur auraient permis de s’intégrer dans la région, d’avoir une crédibilité que le sionisme ne pourra atteindre du fait même qu’il se sert de la mythologie pour justifier son idéologie de conquête faisant abstraction non seulement de l’histoire régionale mais des êtres la peuplant.  
La réalité du journaliste n’est pas de se mettre au service d’une idéologie, quelle qu’elle soit.   Il est nécessaire de reconnaître au moins deux concepts  journalistiques exactement contraires : les journalistes à l’éthique de légende, leur mission est une charge qui jamais ne se départit de la déontologie, à coté de ces « princes de l’info », les journalistes de Bazard, monnayant l’exercice de la profession, du prestige et privilèges que la fonction procure,  la déontologie est pour eux un sentiment abstrait, considérant leur métier en termes  de pouvoir, passe-droit, position sociétale que de la profession procure.  Ces journalistes de « Bazar » cherchent à faire passer leur idée plus que les tenants et aboutissants qui permettrait  au lecteur, au téléspectateur de se faire sa propre idée.

 (La conclusion que j’en sors de cette expérience, de cette observation sociétale  c’est que au jour d’aujourd’hui on ne peut pas faire confiance à un homme politique ni à journaliste favorisant Israël par conviction ou par crainte.   Mais j’estime que lorsque l’on fait un métier aussi honorant par sa dimension morale que peut l’être celui de journaliste ou politique on devrait être plus courageux et faire son métier sans exaltation et sans crainte. En quelque sorte les défenseurs émérites de l’ « Habeas corpus ». (Qui garantit la liberté individuelle))  

Elias Chacour (prêtre, arabe et citoyen israélien)

 Elias Chacour (prêtre, arabe et citoyen israélien)

Il y quelques jours une marche organisé par une association à laquelle j’ai adhéré nous mena à Avolsheim. Ce village Alsacien où nous allions souvent. Il était très souvent question dans les conversations du « DOMPETER ». En fait le thème de la marche était la visite des chapelles autour de Avolsheim et parmi elles le DOMPETER où j’ai appris que la tradition voulait quelle fut la plus ancienne église d’Alsace destinée à l’élément gallo-romain paysan du cru et daterait d’une époque, où le christianisme conscient de sa force y voudrait voir le premier témoin d’un essais de christianisation. Il est vraisemblable que les missionnaires trévirois en la personne de Saint Materne, Euchaire et Valère soient venus prêcher évangile en Alsace.  Le nom signifie -maison de Pierre-  « Domus Petri » elle fut consacrée par le Pape alsacien Léon IX entre 1049 et 1053 alors que la légende la ferait remonter à la fin de l’empire romain ou aux premiers siècles de la chrétienté.
La datation exacte de la construction est toujours sujette à controverse, mais en nous référant aux études les plus récentes effectuées par Madame Simone BRAUN dans l’annuaire de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Molsheim et environs, la période d’édification de l’église se situerait entre l’an 1000 et 1160. Cette datation est corroborée par la date de la consécration du sanctuaire par le Pape alsacien Léon IX en 1049.
Être utile ! Fallait-il encore et c’est dans notre nature, nos désirs empreignent nos perceptions,  se consacrer à une cause digne d’être  défendue.  Ta famille n’a pas compris ma douleur seul comptait celle de ta mère, qui n’avait plus de larmes pour te pleurer, sans doute quelle comprit bien avant moi ce qui nous attendait. En te ramenant à ta dernière demeure, mon cœur si dur qui n’avait jamais versé de larmes, n’était plus reconnaissable…   Pour venir en aide à quelqu’un il me fallait braver ta prédiction et me lancer à corps perdu dans ce que Elias Chacour (prêtre, arabe et citoyen israélien) http://en.wikipedia.org/wiki/Elias_Chacour  avait fait naître en moi avec son livre « J‘ai foi en nous » et aussi l’œuvre de sa vie avec : cette école (devenue presque Université) à Ibillin qu’il fit construire petit à petit avec les fonds collectées, principalement aux États-Unis, où des enseignants sans distinction de religion enseignaient à des élèves de toutes religions. Cette coexistence donnait l’exemple, apportait la preuve que l’homme était doué d’intelligence et qui aurait du ouvrir la voie de la sagesse à ces deux peuples … 
 Ce livre me rebella les souffrances de deux peuples, que le sionisme, les politiques, l’Holocauste, la bêtise humaine et sa poltronnerie jetait l’un contre l’autre. J‘ai rencontré le mal et j’ai découvert Dieu (l’état de conscience). J’appelle ça ma découverte, mais elle n’a rien de nouveau, bien entendu, et ne m’appartient pas. C’est à chacun de la faire pour son propre compte. La religion est quelque chose de spirituel et strictement personnel, trop souvent ce que l’on appelle religion ce  sont des rites  des « us & coutumes » du folklore. S’il y a quelque chose sur terre dont je suis sur, c’est bien cela.  Les gens ont des vocabulaires différents pour la décrire. Je suppose que toutes les grandes religions de l’humanité ont commencé par le contact inspiré qu’a noue un individu avec une réalité spirituelle, et son effort pour que ne meure pas cette révélation. Il s’en perd néanmoins la plus grande partie dans les règles, les pratiques et l’appétit du pouvoir. Les religions sont ainsi. Mais pour finir, les termes employés n’ont guerre d’importance, pourvu que soit acquise la vérité essentielle : « que nous avons en nous une ressource infinie, le potentiel d’un état de conscience supérieur, une qualité d’être… »
Tu me promettais des ennuis peut-être même la prison. Pourtant, il me suffisait de vivre de tout mon corps et de témoigner avec mon cœur.  Que pouvais m’arriver de pire que tu n’eusses éprouvée ? Dans mon engagement personnel pour le « Droit du peuple Palestinien » je savais que j’avais une épée de Damoclès au dessus de ma tête, que mon engagement allait être qualifié d’antisémite, ce risque je le prends en parfaite connaissance me disant si je peux faire avancer la cause palestinienne, j’en assumerais les conséquences dans la mesure de mes moyens. Lorsque plus tard j’ai adhéré au Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la Paix ( C.J.A.C.P.), j’avais peur que la défense du droit des palestiniens soit pris pour de l’antisémitisme, des membres disaient qu’il fallait résister à ces peurs sous peine de rendre stérile notre "combat".
Des hommes politiques de gauche comme de droite on une vue parcellaire ou partisane de ce conflit on dirait qu’ils entrent en politique moins par conviction que pour y faire carrière. Les hommes politiques de gauche, de droite, favorables au sionisme ont sans aucun doute trahi leurs convictions politiques pour favoriser les convictions communautaristes.   
Cependant, on peut avoir des opinions et agir néanmoins conformément au mandant pour lequel on a été élu, malheureusement ces êtres en majorité manipulateurs se font élire en France et agissent dans l’intérêt d’Israël, finalement ils favorisent une idéologie contrarie à l’engament  de la France patrie les Droits de l’homme. Sur ce point ils ont trahis la France et leurs électeurs.