- Nul ne peut s’enrichir légitimement
d’un bonheur mal acquis !
- En
effet ; j’ai surpris une conversation entre deux jeunes juifs dont l’un se
félicitait de leur influence en Europe aux USA et du chemin parcouru au Proche-Orient,
comme l’autre émettait quelque réserves, sans doute plus intelligent, le
premier rétorqua : « mais nous n’avons jamais été aussi forts ».
Il y
a-t-il quelque chose à rajouter… ?
L’intelligence
n’est pas une question de force mais de propension à l’honnêteté, à la
coexistence d’entités aux intérêts distincts. Ce ne peut pas être, « abuser
autrui ». (L’intelligence et la ruse, sont deux concepts
antinomiques.)
a) L’intelligence :
c’est faire accepter, obtenir l’accord.
b) La
ruse : c’est tromper, obtenir contre le gré de la personne abusé.
C’est
la raison principale des échecs des soi-disant pourparlers de
« paix », de la lente évolution vers elle. Dans ce conflit, le
sionisme agit avec ruse au lieu d’agir avec intelligence. Et
avec lui ces politiques félons américains, européens que nous avons élus.
Le
patriarche Abraham eut un fil avec sa femme Sarah, Isaac et un autre avec sa
servante Agar, Ismaël.
Les
Juifs sont selon la légende les descendants de Isaac, les Musulmans d’Ismaël. Que
vient faire Sem, ici, fils de Noé ? C’est sans doute pour cela que les
Palestinien sont qualifiés de terroristes et non d’antisémites.
Antisémite
à la place de raciste. Le détournement de la signification de ce
mot n’est pas anodin, qualifier de raciste une action malveillante à l’égard
d’un juifs du seul fait d’être juifs, ne rend pas toute la solennité voulue,
recherchée. S’était rentrer dans le rang des actes racistes. Une action
antisémite tel que les autorités juives veulent le croire n’est pas autre chose
qu’une action raciste. Le sens détourné de la signification de ce mot permet
d’atteindre cette solennité.
Qualifions-nous
l’agression envers un arabe d’antisémite ? Non, qu’il soit par ailleurs
sémite ou pas. Si tel était le cas, tout
le mal, que les intellectuels juifs se sont donnés pour transformer la
signification du mot, aurait été vaine.
Les
faits sont têtus, pouvons nous affirmer aujourd’hui que la communauté israélite
fait partie sans restriction de la communauté universelle ou cherche-t-elle à y
avoir une position singulière ? (Bien sur cela ne concerne pas toute la
communauté israélite) Voudrait-elle croire que « Peuple élu » nous
lui devons quelque chose ? A part les aimer sans se faire abuser, de faire
en sorte que plus jamais une communauté ne s’en prenne à une autre, que
pouvons-nous faire d’autre ? Je les considère mes égaux, j’aimerais
aussi l’être à leurs yeux. Et que ne
vienne me dire que l’arrogance que je remarque chez un Kouchner, un Copé, un
Lelouch, un Goupil, un Calvi… est accidentelle ou fortuite.
L’occident
agit aujourd’hui contre sa propre population pour favoriser l’avènement de je
ne sais quelle race ? Je dirais plutôt coterie, classe, communauté
économique ! Israël voudrait se
faire le chantre de la lutte contre le terrorisme, l’antisémitisme, de la
sécurité : anti-précaires ; anti-quartiers, anti-chômeurs, anti-SDF…
veiller à la sécurité de la fourniture de l’eau... Alors
même, qu’il est la principale cause de l’antisémitisme, plus exactement du
racisme anti-juif.
Le
sionisme nous l’avons vu « complotait » depuis 1897 y compris contre
l’intérêt des juifs eux-mêmes. En 1938 alors que les juifs étaient persécutés
depuis plusieurs années par les nazis les camps : de Dachau, de Buchenwald
et de Mauthausen fonctionnaient déjà. Et seuls le Danemark et la Hollande, sur
33 pays réunis, acceptèrent d’élargir leurs quotas d’immigration aux juifs. C’était
en ces temps qu’il fallait défendre la communauté hébreu, aujourd’hui les juifs
ne sont plus victimes, ils font des victimes ! Nuance non négligeable,
sans doute.
La
France, pas encore « pétainiste » se déclara « saturée ». Est-on saturée d’un bien ? En ces temps
modernes l’hypocrisie est élevée au rang de l’enseignement philosophique, par
ceux-la mêmes qui en reçoivent le bénéfice.
Si nos gouvernements font allégeance à Israël c’est parce que le nazisme à perdu la guerre.
Que serions-nous devenus d’un destin contraire ? Nous obligerait-on de saluer main et bras tendu,
avec le parfait assentiment de nos gouvernants ? La
seule satisfaction c’est que les Palestiniens vivraient en paix.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire