vendredi 6 janvier 2012

CHAPITRE XXXIV



- Nul ne peut s’enrichir légitimement d’un bonheur mal acquis !
- En effet ; j’ai surpris une conversation entre deux jeunes juifs dont l’un se félicitait de leur influence en Europe aux USA et du chemin parcouru au Proche-Orient, comme l’autre émettait quelque réserves, sans doute plus intelligent, le premier rétorqua : « mais nous n’avons jamais été aussi forts ».   
Il y a-t-il quelque chose à rajouter…  ? 

L’intelligence n’est pas une question de force mais de propension à l’honnêteté, à la coexistence d’entités aux intérêts distincts. Ce ne peut pas être, « abuser autrui ». (L’intelligence et la ruse, sont deux concepts antinomiques.)
a)     L’intelligence : c’est faire accepter, obtenir l’accord.
b)     La ruse : c’est tromper, obtenir contre le gré de la personne abusé.

C’est la raison principale des échecs des soi-disant pourparlers de « paix », de la lente évolution vers elle. Dans ce conflit, le sionisme agit avec ruse au lieu d’agir avec intelligence.   Et avec lui ces politiques félons américains, européens que nous avons élus.

Le patriarche Abraham eut un fil avec sa femme Sarah, Isaac et un autre avec sa servante Agar, Ismaël.
Les Juifs sont selon la légende les descendants de Isaac, les Musulmans d’Ismaël. Que vient faire Sem, ici, fils de Noé ? C’est sans doute pour cela que les Palestinien sont qualifiés de terroristes et non d’antisémites.
Antisémite à la place de raciste. Le détournement de la signification de ce mot n’est pas anodin, qualifier de raciste une action malveillante à l’égard d’un juifs du seul fait d’être juifs, ne rend pas toute la solennité voulue, recherchée. S’était rentrer dans le rang des actes racistes. Une action antisémite tel que les autorités juives veulent le croire n’est pas autre chose qu’une action raciste. Le sens détourné de la signification de ce mot permet d’atteindre cette solennité.
Qualifions-nous l’agression envers un arabe d’antisémite ? Non, qu’il soit par ailleurs sémite ou pas.  Si tel était le cas, tout le mal, que les intellectuels juifs se sont donnés pour transformer la signification du mot, aurait été vaine.
Les faits sont têtus, pouvons nous affirmer aujourd’hui que la communauté israélite fait partie sans restriction de la communauté universelle ou cherche-t-elle à y avoir une position singulière ? (Bien sur cela ne concerne pas toute la communauté israélite) Voudrait-elle croire que « Peuple élu » nous lui devons quelque chose ? A part les aimer sans se faire abuser, de faire en sorte que plus jamais une communauté ne s’en prenne à une autre, que pouvons-nous faire d’autre ? Je les considère mes égaux, j’aimerais aussi  l’être à leurs yeux. Et que ne vienne me dire que l’arrogance que je remarque chez un Kouchner, un Copé, un Lelouch, un Goupil, un Calvi… est accidentelle ou fortuite.
L’occident agit aujourd’hui contre sa propre population pour favoriser l’avènement de je ne sais quelle race ? Je dirais plutôt coterie, classe, communauté économique !  Israël voudrait se faire le chantre de la lutte contre le terrorisme, l’antisémitisme, de la sécurité : anti-précaires ; anti-quartiers, anti-chômeurs, anti-SDF… veiller à la sécurité de la fourniture de l’eau...   Alors même, qu’il est la principale cause de l’antisémitisme, plus exactement du racisme anti-juif.   
Le sionisme nous l’avons vu « complotait » depuis 1897 y compris contre l’intérêt des juifs eux-mêmes. En 1938 alors que les juifs étaient persécutés depuis plusieurs années par les nazis les camps : de Dachau, de Buchenwald et de Mauthausen fonctionnaient déjà. Et seuls le Danemark et la Hollande, sur 33 pays réunis, acceptèrent d’élargir leurs quotas d’immigration aux juifs. C’était en ces temps qu’il fallait défendre la communauté hébreu, aujourd’hui les juifs ne sont plus victimes, ils font des victimes ! Nuance non négligeable, sans doute. 
La France, pas encore « pétainiste » se déclara « saturée ».  Est-on saturée d’un bien ? En ces temps modernes l’hypocrisie est élevée au rang de l’enseignement philosophique, par ceux-la mêmes qui en reçoivent le bénéfice.  Si nos gouvernements font allégeance à Israël  c’est parce que le nazisme à perdu la guerre. Que serions-nous devenus d’un destin contraire ?  Nous obligerait-on de saluer main et bras tendu, avec le parfait assentiment de nos gouvernants ?   La seule satisfaction c’est que les Palestiniens vivraient en paix.

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