lundi 6 février 2012

L’ambassadeur de France Stéphane Hessel



 « Un véritable crime contre l’humanité »
Stéphane Hessel ambassadeur de France. Entretiens avec Swiss Info, 5 janvier 2009 publié le 8 janvier 2009 :
L’ambassadeur de France Stéphane Hessel, ancien résistant et déporté, condamne vivement le comportement d’Israël à Gaza et appelle au retour à la table des négociations pour mettre en place la seule solution à ses yeux, celle de deux Etats « rendue de plus en plus difficile, au fur et à mesure que s’accumulent de part et d’autre, soit le mépris et l’humiliation, soit la haine. » Il faut que cette accumulation cesse le plus vite possible, dit-il alors, « au nom de ce que l’histoire nous à appris sur la possibilité du pardon, […] il faut avoir hâte que cette possibilité de pardon et de solidarité dans un Proche-Orient pacifié puisse être rétablie. ». 
En réalité le mot qui s’applique -qui devrait s’appliquer- est celui de crime de guerre et même de crime contre l’humanité. Mais il faut prononcer ce mot avec précaution, surtout lorsqu’on est à Genève. Pour ma part, ayant été à Gaza, ayant vu les camps de réfugiés avec des milliers d’enfants, la façon dont ils ont bombardé m’apparaît comme un véritable crime contre l’humanité.
Cette déclaration faisait suite à une émission sur France 3 où Frédéric Taddei  avait réuni des personnalités de tous bords où l’historien pro sioniste Alexandre Adler fit preuve une fois de plus d’intolérance comme la plupart des intellectuels franco-israéliens lorsqu’il s’agit du conflit du Proche-Orient perdant la plus élémentaire des objectivités et profitant de la médiatisation que leur profession confère pour tromper le téléspectateur, usant d’argument apocryphes. Il cherchait à justifier ce crime de guerre par les roquettes -qu’il nommait missiles-  qui firent 4 victimes d’un coté et 1350 (dont 400 enfant) de l’autre. Ces mensonges ne sont ni excusables ni tolérables de la part d’un homme qui se voudrait historien, il n’a pas, dans l’état actuel des choses à prendre parti, ou alors qu’il ne se présente comme historien mais du sioniste ou pro israélien, et nous saurons, nous, relativiser ses propos.  (Puisqu’il ne sait ou peut le faire)
    
Nous sommes le 31 mai 2009 : les médias annoncent le désaccord du gouvernement Netanyahu avec le Président des Etats-Unis Barak Obama sur l’arrêt de la colonisation. (Il ne s’agit même pas de décolonisation qui poserait effectivement un problème d’intendance). Non il s’agit de dire au monde allez vous faire… nous faisons  -comme les pirates- ce que nous voulons le droit international on s’assoit dessus. Nous avons suffisamment de bombes thermonucléaires pour tout le monde.
Déjà en 2002, M Pat Cox Président du Parlement Européen, me répondant à un de mes cris d’alerte me fit copie de résolutions que le Parlement Européen avait voté, les unes demandant en quelque sorte à Israël plus de retenue,  les autres le condamnant. Résolutions qui comme celles de l’ONU ne sont suivies de pressions réelles, ni de fait coercitifs autant dire qu’elles ne servent à rien. Nous élisons des députées pour qu’ils calibrent les concombres Chypriotes, qu’ils rédigent des mémoires sur l’aspect des pommes en Grande distribution… mais lorsqu’il s’agit de notre vie, de notre modèle  de société, de notre civilisation, là circulerez il n’y rien voir.  Je ne veut pas accabler M Pat Cox, mais dans un courrier personnel qu’il me fit parvenir : il faisait référence, en réponse de mon « coup de gueule », aux actes antisémites où une porte de Synagogue fut incendié, des graffitis racistes sur le mur d’une école juive…  Je me fâchais tout « rouge » et lui répondis que je ne lui parlais de dégâts matériel mais de vies humaines. Je ne lui plus jamais plus écrit directement, il ne le méritait pas.
L’Europe un conglomérat d’intérêts. (Je ne m’étonne pas que les sionistes fassent la loi chez nous) Déjà pendant la seconde guerre mondiale l’Europe s’est distinguée par sa prévarication n’osant s’opposer à un criminel et maintenant dans le conflit israélo-palestinien. Conflit engendré par elle même, financent les infrastructures palestiniennes que les gouvernements israéliens « démontent » (détruisent) à chaque fois que qu’ils se lèvent de mauvaise humeur.   Nos élisons des apostats de la démocratie. L’Europe « Patrie des droit de l’homme » qui peut encore  croire à ce lapsus ?

Gaza meurtrie, Gaza martyrisée (Gaza libérée, ce n’est pas pour tout suite mais il le faudra bien ! (Levez les bras en V)
Des soldats israéliens dénoncent les abus commis :
 « Zéro tolérance, nous venons pour les liquider »   
Écriront les militaires dans leur correspondance.
« En entrant dans une maison, nous abattions la porte et tirions à vue. A cela je l’appelle assassinat. A chaque étage nous tirons sur les personnes qui nous identifions comme tel. Je me suis demandé : comment cela peut être raisonnable ? »  Expliquait un militaire. C’est un des témoignages  publiés par le journal Haaretz sur les expériences de quelques soldats israéliens sur la dernière guerre de Gaza que l’armée et le gouvernement d’Ehud Olmert préférèrent appeler "opération", que avocats et juges qui planifient les charges de la Cour Pénale Internationale qualifieront de crimes de guerre.  Danny Zamir, directeur de l’Académie Militaire Isaac Rabin, dont les élèves débattirent la semaine dernière  sur ces expériences dans la guerre, assuraient hier que les soldats parlaient de « feu injustifié contre des civils palestiniens » ? Dès 1400 victimes, presque un millier furent des civils désarmés et 239 policiers furent assassinés à l’intérieur des casernes le premier jour de l’agression. 235 miliciens périrent dans les combats.
Un autre militaire affirmait qu’un commandant ordonnait de tirer sur une vieille femme qui marchait sur la route à 100 mètres de distance. Un troisième déclarait que après avoir assailli une maison : « Le chef du peloton laissait partir la famille et leur dit d’aller vers la droite. Une mère et ses deux fils n’entendirent l’ordre et tournèrent à gauche. Le franc-tireur qui vit approcher des personnes dans une zone où personne ne devait s’y trouver, leur tira dessus ».  Ce sous-officier les vit précisa que ses hommes sentaient : que la vie des Palestiniens en moins importante que les vies de nos soldats. C’est ainsi que l’on peut le justifier.
Les soldats israéliens l’on laissé aussi écrit. « Tolérance zéro, nous venons pour les liquider » « Mort aux arabes ». Ce sont seulement deux des graffitis que les militaires gravèrent sur les murs des édifices qu’ils prenaient comme base de repli. Les témoignages prolifèrent sur les destructions d’ordinateurs, meubles, télévisions, appareils électroménagers… Déféquaient à l’intérieur de machines à laver le linge ou laissaient des excréments  dans le réfrigérateur.
Les règles données aux soldats pour le combat ont été des plus permissives. Tout était valable pour éviter des pertes à l’armée qui enrôle chaque fois plus des jeunes d’extrême droite. Les consignes des rabbins influençaient aussi  et  sollicitaient "de n’avoir aucune piété".  L’armée promet d’enquêter sur ce qui s’est passé. (*)
(*) Comme toujours dans ces cas là, le occident chantre de la démocratie,  laisse sous entendre que justice sera faite. Que chez nous il n’y à pas de passe droit, nous jugerons en toute honnêteté  et s’il y a eu des manquements au droit les coupables seront châtiés.  Mensonges de pucelles effarouches prises en flagrant délit de sodomisation la virginité n’est que de façade ce sont des stakhanovistes du coït.  Ces êtres là sont révulsifs. La vulgarité faite homme. (Humain)
 - Vulgarité !
- Oui Miquel, la vulgarité n’e réside pas dans les mots mais dans les actes. Les gens policés s’avèrent très souvent être les plus vulgaires. 

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