Une économie communautariste !
- Tu dis que le directeur s’appelle : « Shapiro » ?
- Oui.
C’est un nom assez répandu dans le monde, depuis le Dernier conflit mondial
surtout dans la sphère anglo-saxonne.
-
Lorsque nous avions la société de
installation de « Grandes Cuisines » nous avions un département
emballage et j’avais un fournisseur qui s’appelait Shapiro qui fabriquait entre
autres des sacs papier pour l’industrie alimentaire, comme par exemple des sacs
pour les fruits et légumes et tous les produits à emporter. Il était très dur en
affaires au-delà des convenances de la profession à la limité de la régularité.
Il me faisait par exemple payer mes commandes non seulement au « cul du
camion » comme cela arrive quelques fois lorsqu’on s’adresse à un nouveau
fournisseur mais il me faisait payer à la commande, malgré les garanties
bancaires qu’il m’avait demandé de fournir. Comme s’était une commande spéciale
pour les Hôpitaux Universitaires de Strasbourg, il m’était difficile de faire
autrement. Mais dès que le délai me le permettait je passais commande à un
fournisseur espagnol, parfois aussi en Belgique. A titre de comparaison je te
dirais par exemple que lorsque je passais commande d’une cuisine à équiper la
facture pouvait s’élever à plus de 500 000 francs que je payais pour
certains petits matériels à : 30 jours fin de mois et 60 jours FDM pour
les autres. Nous venions d’installer une cuisine professionnelle de
1 800 000 francs, il n’était pas question de demander à mon client de
payer d’avance. J‘ai donc obtempéré et payé par avance. Mais il va sans dire
que je ne lui commandais qu’en dernier ressort.
Plus
tard j’ai appris que Shapiro connaissait un de mes autres fournisseurs que
j’avais abandonné pour irrégularités de livraison. Il avait l’exclusivité pour
la France des produits américains « SOLO » tout ce qui était
emballages pour la restauration rapide et plus généralement des pots
alimentaires. En fin de compte j’ai trouvé l’importateur Belge de ces produits
et me vendait ces pots alimentaires que je commandais par dix palettes au tiers
du prix de l’importateur français. Par
hasard j’ai appris qu’il était un juif ayant du quitter l'Égypte vers les
années 50 en rétorsion, je suppose, à la déclaration "d’indépendance"
de l’État d’Israël en 1948 et à la conquête des territoires Palestiniens. À
l’époque le Chef de l’État s’appelait Nasser. Il était pro Palestinien, il fut
dénigré en « bonne et du forme », comme actuellement tous les pays
qui mènent une politique contraire aux intérêts d’Israël, lorsqu’il nationalisa
le « Canal de Suez » il a même failli être attaqué par une coalition,
déjà, anglo-française-israélienne (comme si nous occidentaux, avions
un droit de cuissage sur les biens du monde). Fernand de Lesseps avait,
c’est vrai, construit ce canal. Créa une compagnie et obtint du vice-roi
d’Égypte l’autorisation de percer le dit canal et de l’exploiter. Cependant, je
suppose, que si l’Égypte avait eu des royalties conséquentes et fusse
respecté, Nasser n’aurait peut-être pas nationalisé le
Canal. Mais la vraie question est de
savoir si cette tentative d’agression était liée à l’interdiction de passage
aux bateaux israéliens ?
Dénigré
tout comme Saddam Hussein qui « régnait » lui sur l’Irak et dont nous
connaissons tous, la fin de l’histoire.
Saddam a tenté d’exterminer les Kurdes, pourtant communauté irakienne,
c’est vrai. Mais avec des armes que nous occidentaux lui avons vendu. Dans ces
conditions jetons-lui la pierre mais avec tous les béotiens qui l’ont
« fabriqué ».
Depuis
2007 je dirais que la France s’est ralliée à une cause supra nationale dont les
français ne sont pas les seuls à en faire les « frais », il n’y à plus de véritables démocraties. Les
gouvernements une fois élus se conduisent en chefs de clan, en chef de coterie,
au lieu de Chefs d’État. Et œuvrent plus, pour une idéologie économique mondialisée que pour la nation
dont il en ont normalement la charge.
- Mais dis-moi, comment ça s’est terminé avec ton père et son ami chercheur ?
- Mais dis-moi, comment ça s’est terminé avec ton père et son ami chercheur ?
- L’ami
de mon père disait que la molécule chimique que Monsanto utilisait se
développait anarchiquement dans le ventre du cobaye contrairement à la molécule
naturelle du labo Écossais. Et mon père disait s’il nous vendent ça on ne
pourra plus manger des PDT sans prendre le risque de tomber malade. Tu sais
qu’à cette époque la pomme de terre était pour nous un aliment de base. Il
disait aussi, que c’est un danger pour l’humanité toute entière si le pouvoir
reste aux mains d’une minorité ethno-économique.
Beaucoup de pays dans le monde consommeront des produits dangereux pour la santé simplement par manque d’information. Seul ceux, parfaitement informées de la fabrication des produits, pourront consommer en toute sécurité les productions des entreprises en accointance avec « MONSANTO ».
Monsanto
présente aux inspections les tests que son propre laboratoire a exécuté ou a
commandé auprès de laboratoires où Monsanto y a des participations, l’agrément
de ces produits se fait par complaisance ou complicité et cela dans une opacité
quasi totale, les politiques sont totalement dépasses, il va de soi que
Monsanto par ces accointances achète les consciences y compris des media acquis
à la cause supranationale. Il faudra être parfaitement informé sur le risque
sanitaire que font courir ces entreprises
animées exclusivement par le profit. Mais c’est le progrès, disent-ils. Les
licenciements ruinant la vie de millions de familles doivent aussi faire partie
du progrès !
- Oui, à Barcelona on disait à cette époque que pour manger sain il fallait sortir des circuits traditionnels de distribution. Notre village était agricole, il n’y avait pas une famille qui n’avait son champ ou ses potagers. Aujourd’hui il n’y a que des usines et presque plus de paysans. Manger sain devient un casse-tête.
-
Dis-moi Miquel, tu n’est pas en train de me dire que si on ne sait pas ce qu’on
achète nous risquons d’être empoisonnés y compris pour une question
d’argent ?
- Oui,
c’est exactement ce que je veux dire.
-
Depuis, les cas de contamination des sols et par voie de conséquence de l’eau
puis des airs, par le désherbant « Rundop » de Monsanto. J’avais
compris que cette firme n’avait rien de philanthropique et il était clair
quelle n’hésiterait pas, entre : « faire de l’argent à tout prix et empoisonner des populations ». Mais ce
qui m’inquiète se sont ses accointances avec l’Organisation sioniste mondiale.
Car si c’est effectivement le cas, les populations mondiales ont du souci à ce
faire. L’incompréhensible, l’inconcevable
c’est que les gouvernements occidentaux, sont forcement au courant du danger,
et pourtant laissent faire !
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