lundi 19 septembre 2011

Elias Chacour (prêtre, arabe et citoyen israélien)

 Elias Chacour (prêtre, arabe et citoyen israélien)

Il y quelques jours une marche organisé par une association à laquelle j’ai adhéré nous mena à Avolsheim. Ce village Alsacien où nous allions souvent. Il était très souvent question dans les conversations du « DOMPETER ». En fait le thème de la marche était la visite des chapelles autour de Avolsheim et parmi elles le DOMPETER où j’ai appris que la tradition voulait quelle fut la plus ancienne église d’Alsace destinée à l’élément gallo-romain paysan du cru et daterait d’une époque, où le christianisme conscient de sa force y voudrait voir le premier témoin d’un essais de christianisation. Il est vraisemblable que les missionnaires trévirois en la personne de Saint Materne, Euchaire et Valère soient venus prêcher évangile en Alsace.  Le nom signifie -maison de Pierre-  « Domus Petri » elle fut consacrée par le Pape alsacien Léon IX entre 1049 et 1053 alors que la légende la ferait remonter à la fin de l’empire romain ou aux premiers siècles de la chrétienté.
La datation exacte de la construction est toujours sujette à controverse, mais en nous référant aux études les plus récentes effectuées par Madame Simone BRAUN dans l’annuaire de la Société d’Histoire et d’Archéologie de Molsheim et environs, la période d’édification de l’église se situerait entre l’an 1000 et 1160. Cette datation est corroborée par la date de la consécration du sanctuaire par le Pape alsacien Léon IX en 1049.
Être utile ! Fallait-il encore et c’est dans notre nature, nos désirs empreignent nos perceptions,  se consacrer à une cause digne d’être  défendue.  Ta famille n’a pas compris ma douleur seul comptait celle de ta mère, qui n’avait plus de larmes pour te pleurer, sans doute quelle comprit bien avant moi ce qui nous attendait. En te ramenant à ta dernière demeure, mon cœur si dur qui n’avait jamais versé de larmes, n’était plus reconnaissable…   Pour venir en aide à quelqu’un il me fallait braver ta prédiction et me lancer à corps perdu dans ce que Elias Chacour (prêtre, arabe et citoyen israélien) http://en.wikipedia.org/wiki/Elias_Chacour  avait fait naître en moi avec son livre « J‘ai foi en nous » et aussi l’œuvre de sa vie avec : cette école (devenue presque Université) à Ibillin qu’il fit construire petit à petit avec les fonds collectées, principalement aux États-Unis, où des enseignants sans distinction de religion enseignaient à des élèves de toutes religions. Cette coexistence donnait l’exemple, apportait la preuve que l’homme était doué d’intelligence et qui aurait du ouvrir la voie de la sagesse à ces deux peuples … 
 Ce livre me rebella les souffrances de deux peuples, que le sionisme, les politiques, l’Holocauste, la bêtise humaine et sa poltronnerie jetait l’un contre l’autre. J‘ai rencontré le mal et j’ai découvert Dieu (l’état de conscience). J’appelle ça ma découverte, mais elle n’a rien de nouveau, bien entendu, et ne m’appartient pas. C’est à chacun de la faire pour son propre compte. La religion est quelque chose de spirituel et strictement personnel, trop souvent ce que l’on appelle religion ce  sont des rites  des « us & coutumes » du folklore. S’il y a quelque chose sur terre dont je suis sur, c’est bien cela.  Les gens ont des vocabulaires différents pour la décrire. Je suppose que toutes les grandes religions de l’humanité ont commencé par le contact inspiré qu’a noue un individu avec une réalité spirituelle, et son effort pour que ne meure pas cette révélation. Il s’en perd néanmoins la plus grande partie dans les règles, les pratiques et l’appétit du pouvoir. Les religions sont ainsi. Mais pour finir, les termes employés n’ont guerre d’importance, pourvu que soit acquise la vérité essentielle : « que nous avons en nous une ressource infinie, le potentiel d’un état de conscience supérieur, une qualité d’être… »
Tu me promettais des ennuis peut-être même la prison. Pourtant, il me suffisait de vivre de tout mon corps et de témoigner avec mon cœur.  Que pouvais m’arriver de pire que tu n’eusses éprouvée ? Dans mon engagement personnel pour le « Droit du peuple Palestinien » je savais que j’avais une épée de Damoclès au dessus de ma tête, que mon engagement allait être qualifié d’antisémite, ce risque je le prends en parfaite connaissance me disant si je peux faire avancer la cause palestinienne, j’en assumerais les conséquences dans la mesure de mes moyens. Lorsque plus tard j’ai adhéré au Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la Paix ( C.J.A.C.P.), j’avais peur que la défense du droit des palestiniens soit pris pour de l’antisémitisme, des membres disaient qu’il fallait résister à ces peurs sous peine de rendre stérile notre "combat".
Des hommes politiques de gauche comme de droite on une vue parcellaire ou partisane de ce conflit on dirait qu’ils entrent en politique moins par conviction que pour y faire carrière. Les hommes politiques de gauche, de droite, favorables au sionisme ont sans aucun doute trahi leurs convictions politiques pour favoriser les convictions communautaristes.   
Cependant, on peut avoir des opinions et agir néanmoins conformément au mandant pour lequel on a été élu, malheureusement ces êtres en majorité manipulateurs se font élire en France et agissent dans l’intérêt d’Israël, finalement ils favorisent une idéologie contrarie à l’engament  de la France patrie les Droits de l’homme. Sur ce point ils ont trahis la France et leurs électeurs.

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