Les colons fanatiques se réclament les seuls héritiers de la terre donnée par Dieu !
Mais la
réalité est toute autre, Palestine :
Région
du Proche-Orient, extrémité occidentale du Croissant fertile entre le Liban et
la mer Morte, à l’ouest du Jourdain
(Israël, Cisjordanie et Gaza incluses).
Riche
de vestiges préhistoriques, elle appartient à l’Egypte du XVe au XIIe av. J.-C. Divers peuples l’occupent ensuite, notamment
les Philistins, qui lui donnent son nom, « pays des Philistins » et
les Hébreux qui, y voient leur
« Terre promise ». L’histoire
hébraïque s’identifie à celle de la Palestine jusqu’aux révoltes juives de 70 et 135.
1er
s : naissance du Christianisme, dont la Palestine devient la « Terre
sainte ».
VIIe
siècle : après avoir été romaine, puis byzantine, elle est conquise par
les Arabes musulmans.
XIIe
– XIIIe siècle : les croisés y créent des états.
XIVe
– XVIe siècle : domination des Mamelouks d’Egypte, puis des
Turcs Ottomans (1517).
XXe siècle : pendant la Première Guerre
mondiale, les Britanniques encouragent le nationalisme arabe contre les Turcs
tout en affirmant être favorables à la création d’un foyer Juif en Palestine
(Déclaration Balfour, le 2 novembre 1917) Province est enlevé à la Turquie en
1918. Une Palestine sous mandat britannique naît en 1920 et accueille une forte
immigration juive, suscitant une hostilité croissante de la population arabe
qui se révolte (1936).
De 1935
à 1939, les Arabes craignant d’être submergés par la forte immigration juive, se
révoltent à plusieurs reprises contre les Anglais.
Le
refus britannique d’accepter les
recommandations du congrès sioniste de New York (1942), qui préconisait
la fondation d’un Etat juif, la création de la ligue arabe (1945) et
l’organisation d’une immigration juive clandestine rallumèrent l’action
terroriste de l’Irgoun et du groupe Stern (1945-1946).
La Grande-Bretagne renonça à son mandat
(1947-1948). En 1947, l’ONU établit un
plan de partage entre un Etat juif et un Etat palestinien et une zone internationale
(Jérusalem).
En
1948, la fin du mandat britannique, la proclamation de l’Etat d’Israël et la première guerre Israélo-arabe ont pour
conséquence la fin de la Palestine comme entité territoriale (outre les territoires constituant Israël, la
Judée -Cisjordanie- est annexe par la Jordanie et la bande de Gaza passe sous
mandat Egyptien, la région du lac de Tibériade, les plateaux occidentaux et le
désert du Néguev, à Israël.) la fuite de nombreux habitants vers les pays
voisins est la conséquence de
l’épuration ethnique que les juifs imposent à la population, principalement
arabe.
L’OLP,
crée en 1964, fédère la plupart des mouvements
palestiniens. La Palestine entièrement occupées par Israël dès 1967,
Gaza et la Cisjordanie voient se développer l’Intifada (1987). A nouveaux de nombreux palestiniens se sont
réfugiés dans les pays arabes limitrophes. Où l’Office de secours et de travaux
des Nations Unies (United Nations Relief
and Work Agency [UNRWA]) leur vient en aide. Plusieurs organisations politiques
et militaires défendent les droits du peuple palestinien. La plus importante
l’OLP.
La
résistance palestinienne ne put agir
qu’à partir pays limitrophes d’Israël, qui, à la suite des raids de
représailles israéliens, cherchèrent à contrôler son action ; d’où des
conflits entre les Palestiniens et les autorités jordaniennes (1970-1971) ou
Libanaises (guerre civile de 1975-1976) et l’invasion du Liban méridional par
Israël, en 1982, qui oblige l’état-major de l’OLP à quitter Beyrouth. La résistance palestinienne à organise, dans
une première phase, un certain nombre d’actions spectaculaires et d’actes
terroristes (détournements d’avions, attentat aux jeux Olympiques de Munich à
l’encontre de l’équipe israélienne en 1972) qui, tout en provoquant la
réprobation de l’opinion publique mondiale, ont fait prendre conscience du fait
Palestinien.
A la
suite des accords de Washington (1993)
puis du Caire (1993), une Autorité palestinienne s’installe à Jéricho et à
Gaza (1994). Yasser Arafat est élu président
(1996). Cette Autorité demande l’arrêt des implantations juives en Cisjordanie
et le retrait de l’armée israélienne.
« Il y a en
Palestine un double déni : un déni de droit et un déni de justice et on
refuse le droit aux palestiniens parce qu’ils se révoltent contre l’injustice dont ils son
victimes ».
Jérusalem
veut dire « Ville de Jésus » Jésus était juif c’est aussi le
fondateur du Christianisme.
Jérusalem
appartient par conséquent aux Chrétiens.
Ha ! Là vous n’êtes plus d’accord avec la Bible,
c’est bien ce que je pensais. Le proverbe qui dit : "ne fais pas à ton voisin ce que tu ne voudrais qu'ils te fasse"
ne doit pas s'appliquer, apparemment, aux juifs ! Ils veulent bien te faire
subir leurs affres, mais en aucun cas tu ne peux leur rendre la monnaie de leur
pièce, cela ne serait pas juste. Ben voyons...
(Les juifs peuvent appliquer des taux usuraires, et
trouvent cela normal, mais dès que les populations trouvent qu'il y a là un
abus et ces populations prises à la "gorge" par des remboursements
qu'ils ne peuvent honorer, commettent l'irréparable, et c'est c'est logique, commettent un
crime. Mais la question que les Juifs ne se sont, apparemment, pas posée : est-ce que pratiquer des taux
usuraires est légal ? Gagner de l'argent avec l'argent est utile ? Ne sont là, aussi, des atavismes condamnables. Empêcher quelqu'un de vivre n'est-ce pas aussi criminel que de le tuer ?)
La
Palestine est la cible d’une longue et lente machination fomentée depuis 1896
et mise en pratique à grande échelle à partir de 1948 la société palestinienne n’a pas cessée
d’être harcèle depuis par Israël détruisant les infrastructures, l’habitat
autochtone, réduisant les palestiniens à de simples spectateurs de leur malheur
et quand ils résistent Israël, les USA, l’Europe les accusent de
terrorisme.
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