vendredi 25 novembre 2011

Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la Paix.


 Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la Paix.

- En fait c’est en lisant le livre d’Elias Chacour (prêtre, arabe et citoyen israélien) « J’ai foi en nous » que naquit en moi l’envie de défendre ce peuple victime non seulement d’une injustice mais d’une manipulation jamais exercée jusqu'à présent à travers le monde et tu connais mon aversion, ma répugnance pour le mensonge et la fourberie, cela devait être vers le mois de septembre de l’année 2000. Cependant ma conviction c’est que les manipulations exercées par l’ « Organisation sioniste mondiale » ne concerne pas seulement les Palestiniens mais les citoyens du monde, nous l’avons vu avec la diabolisation, exercée par les médias, de l’Irak, nous le voyons avec l’Iran, nous l’avons vu avec Durban II… et je ne suis pas sur du tout que les attentats du WTC aient comme réalité la seule vérité officielle ?
A cette époque je tentais de comprendre ce conflit par les information que me donnaient les grands medias, naturellement ma vision de ce conflit était totalement faussée. Les Palestiniens étaient, pour moi des gens : incultes des barbares ne sachant s’exprimer leur rancœur que par la violence. Et un jour un reportage sur Jérusalem, me fit comprendre que je faisais fausse route, que ce qu’on tentait de nous faire « avaler » était faux, un mensonge, une manipulation ! Ce jour-là : une télévision française interviewait un jeune étudiant New-yorkais, venu à Jérusalem étudier la Thora s’exprimant en ces termes : « Cette terre nous a été donné par Dieu, elle est par conséquent la notre ! Les Arabes il n’ont qu’aller ailleurs, il y a assez de place. »  Comment un être en pleine possession de ses facultés peut-il parler ainsi ? Là, j’en était sur, on se faisait manipuler, en France mais aussi ces pauvres jeunes à New York comme partout dans le monde où ils apprenaient leur histoire.  Pour nous Chrétiens : « histoire sacré » nous ne la confondions pas  avec l’Histoire-  mais dans la tête de ce jeune juif l’histoire sacré et l’histoire réelle se confondaient au point de lui absorber tout son sens critique, il était un zombi marchant dans la vie les yeux ouverts mais sans intelligence sevrée. Il avait l’intelligence qu’on lui avait inculquée. De la même manière le sionisme inculque la peur aux victimes de la Shoah.

De la même manière lors d’un débat télévisé un jeune étudiant, président des jeunes juifs de l’organisation juive «  CRIF » ou assimilé qui affirmait :
« Que le sionisme est le droit pour les juifs d’avoir un Etat et que la Shoah le leur autorisait ».
Primo       ; la Shoah est un crime, le crime des crimes, et un crime ne peut pas autoriser un autre crime.
Secundo   ; le sionisme c’est crée en 1897 et la Shoah eut lieu entre 1939 et 1945.
Il n’y avait pas là, quelque chose qui le dérangeait ?
Ce jeune n’avait pas encore l’intelligence sevrée, il répétait l’enseignement inculqué dès l’enfance !

En effet, le sionisme a parfaitement intégré ce drame  pour utiliser  l’influence des juifs à travers le monde et pérenniser son impunité, dont Israël quoi que l’on dise n’est qu’un  maillon dans sa stratégie globale, derrière « la terre promise » il y a « le peuple élu » et là… se sera un tout autre discours, une, tout autre affaire.  
Israël depuis qu’il s’est lui-même imposé la Charte des Nations Unies en 1947, n’a jamais respecté une seule des résolutions votées par le conseil de sécurité. Si ce n’est celle l’acceptant en son sein.  Et des êtres que je ne qualifierais pas prétendent qu’Israël est la seule démocratie de la Région ! Or ceux qui observent cet Etat, n’ont aucune difficulté à constater : un Etat raciste, va-t’en-guerre, hégémonique et despotique.  Or, l’honnêteté voudrait que l’on affirmât qu’il n’y a pas de démocratie dans cette Région du monde et lorsque une élection se déroule démocratiquement le très démocratique occident refuse le verdict des urnes  pour « choix non conforme » ! Comme se fut le cas de la dernière élection en Palestine, où, parce que le Hamas avait gagné les élections dans une parfaite transparence, le très démocratique occident (USA, Europe) s’empressèrent d’annuler les subventions qu’ils accordaient aux palestiniens et comme si cela ne suffisait pas cet occident démocratique se fit complice de crime de guerre à Gaza. 

 « Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec  Israël. C’est normal ; nous avons pris leur pays. C’est vrai que Dieu nous l’a promis mais en quoi cela les intéresse-t-ils ? Notre Dieu n’est pas le leur. Il y a eu l’antisémitisme, les Nazis, Auschwitz, mais est-ce de leur faute ? Ils ne voient qu’une chose : nous sommes venus et nous avons volé leur pays. Pourquoi l’accepteraient-ils ? »
Ben Gourion (premier, Premier ministre) déclarait en 1948  « Maison Rouge » siège général de la Haganah. 

L’histoire nous l’a enseignée et nous l’enseigne, tous les jours, qu’un sioniste n’engage sa parole que pour arriver à ses fins, après cela ne le concerne plus.  Comment voulez-vous construire une société dont les hommes n’auraient pas d’état de conscience ? Que l’on serait sur Terre pour thésauriser, que la cupidité serait élevée au rang de doctrine !  

«  L’on ne préserve pas son intégrité en portant atteinte à celle de l’autre »

LE COLLECTIF   Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la Paix. (CJACP)
En adhérant au Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la Paix (CJACP) je pensait structurer ma démarche et je me suis très vite rendu compte que nous ne militions pas tous exactement pour le même objectif. Qu’il y avait autant de paix que de membres, autant de paix que d’association ou organismes militant pour elle. Cependant je dois reconnaître que : si au départ l’argument fédérateur était  la défense de la résistance palestinienne, une idée forte c’est détachée depuis, celle de militer : « Pour le Droit du Peuple Palestinien », en quelque sorte « La paix par le droit », ce qui me convenait non seulement fort bien, mais encore bien d’avantage.
Que l’on le veuille ou non la défense du Peuple palestinien est toujours plus ou moins suspecte y compris aux yeux des membres juifs du Collectifs où parfois laissent l’impression d’être assis entre-deux chaises, il faut défendre le Droit des palestiniens tout en faisant des concessions à l’hégémonie israélienne.  Pourtant le Droit international protège ces deux Peuples, à condition qu’il soit respecté et celui qui ne respecte pas ce Droit, quoi que l’on en dise, c’est Israël. Sans parler des manquements aux Droits humains, l’occupation et la colonisation sont respectivement la « clé de voûte » et la « pierre angulaire » de ce conflit.  Le Droit ce sont les frontières de 1967. Les résolutions de l’ONU.
Bien sur  des esprits chagrin nous abreuvent de : « les Palestiniens doivent cesser le "terrorisme" » bien sur, cependant il fait reconnaître que les Palestiniens subissent, il ne tolèrent pas, la brutalité, l’harcèlement d’Israël et que leur résistance soit qualifiée de terrorisme démontre bien qu’il y a un disfonctionnements dans nos institutions.   C’est le « fort » qui a le droit de tolérer, le faible subit, dans ces conditions il est aisé de comprendre qu’Israël à le pouvoir de la paix pas celui qui subit. Naturellement la condition, sine qua non, est le respect du Droit international.    
Il me semblait important d’occuper l’espace des media, ne pas laisser dire n’importe quoi à n’importe qui. D’interpeller les politiques menteurs, intellectuels menteurs, ambassadeurs menteurs… quand à leur engagement ou leurs prévarications sur ce conflit. Je me suis heurté à un membre du bureau qui me fit comprendre que ma proposition était difficile à mettre en place, quelle était selon sa propre expression : « une usine à gaz » ! Sous entendu beaucoup de tracasseries pour un résultat aléatoire ou insignifiant !  En effet, le résultat de ma démarche dépendait du bon vouloir de ces média, mais j’estime aussi qu’il fallait que nous soyons nous-mêmes convaincus du bien fondé de ce principe. C’est ce que font les organisation pro sionistes imposant leurs vues  y compris aux homme politiques.
Comme l’a dit un membre du collectif lors d’un débat d’après projection : «  Les Palestiniens cherchent plus à survivre qu’à s’instruire, qu’a résister. Leur quotidien est un vrai parcours du combattant, comment pourraient-ils résister efficacement ?  Les sionistes s’ils sont des criminels, ils ne sont pas des idiots et savent qu’un peuple manquant d’instruction est un peuple perdu pour la communauté internationale.
Un jour, j’eus,  un jeu de mots malheureux, stupide je le reconnais et m’en excuse.  Le nom du Chef d’état major l’armée israélienne  qui mena l’agression contre les Palestiniens de Gaza s’appelait Ashkénazi (nom de guerre, tel que le firent nombreux d’entre eux, en 1948)  et je l’appelais (Ashké-nazi).  Un membre du Collectif, professeur de son état, me fit remarquer que le jeu de mot était révulsif et émanait, en quelque sorte de mon ignorance, usant de son savoir pour m’expliquer que les Ashkénaze étaient les juifs d’Europe. Et je sentais bien une brumeuse rumeur d’antisémitisme venait troubler ce qui m’était de plus cher : « la loyauté de mes convictions ». Je qualifiais ce monsieur de poltron. Car au lieu de d’imaginer mon ignorance il aurait du m’expliquer ce que qu’un juif Ashkénaze pouvait éprouver au lieu d’étaler son arrogance parmi les adhérent. Aujourd’hui je reconnais mon erreur, en effet ; je n’ignorais point le nom donné aux  juifs, principalement  d’Europe centrale, les  Ashkénazes. Mais à ma décharge, je dois dire que dans mon esprit il était question de faire, seulement, le rapprochement entre un criminel sioniste et les criminels nazis. Dans ce cas précis c’est lui le Juif, qui fit le rapprochement entre  (Ashké-nazi) et Juifs d’Europe. Je suis Honnête, sincère et loyal et je m’octroi la liberté d’aimer ou de ne pas aimer quelqu’un indépendamment de ce qu’il soit vert, bleu, blanc ou rouge.   
 Lorsqu’un membre demanda s’il pouvait ajouter dans ses courriers : pour une paix juste ? La présidente juive, au demeurant une personne de grande qualité et dont sa famille à grandement souffert du nazisme, lui a répondu : « que l’on militait pour la paix et qu’il ne fallait  pas jouer avec les mots ». (Sic) Pourtant, c’est un point capital, il ne peut y avoir de paix durable que si elle est juste et une paix juste doit respecter le Droit international.  Rien n’y fit et je trouvais même que le dit membre du collectif fut rabroué un peu trop catégoriquement.  C’était décidé j’allais militer pour le « Droit du peuple palestinien ».  Plus tard un membre de la première heure (le même qui me trouvait révulsif, oui je sais…) posa la question de savoir si en militant pour la résistance palestinienne nous ne militions aussi pour la Hamas, -Hamas qui prônait la destruction d’Israël- qu’il considérait comme une organisation terroriste et que par conséquent il n’était question pour lui  d’y participer. (J’ai su ultérieurement qu’il faisait partie d’une autre association affiliée au CRIF organisation raciste s’il en est).  Quelques jours plus tard un autre membre ancien parmi les anciens, lors de la réunion mensuelle, posa ingénument la question de savoir ce qu’il fallait répondre si on nous interpellait au sujet du Hamas. Cette question était perfide d’autant plus que le membre en question  écrivait des articles sur le sujet et par conséquent parfaitement au courrant de la réalité.   Concernant cette demande d’argumentaire, je me fâchais tout rouge,* moins par la question perfide que par le fait que l’on voulait me faire taire, et rétorquais que si lui-même n’étais pas convaincu du bien fondé de notre action, de la résistance du Hamas, comment voulait-il argumenter une réponse ?  Quelques jours auparavant il m’avait, justement, passé un de ces articles, que je jugeais incomplet et pouvant enduire en erreur, il me répondit qu’il n’écrivait pas du prêt à penser ! Que ce qu’il cherchait à faire c’était à faire réfléchir et me félicitait  de ma perspicacité. Comme il se foutait de ma gueule je n’ai pas insisté mai en ce qui me concerne je l’avis mis à découvert. En effet, si je n’avais été au fait de ce qu’il écrivait ma vision du sujet aurait été faussé.  Je n’en suis pas sur mais à mon avis il devait être un des membres assis entre deux chaises.  C’est aussi à ces infidélités que l’on sait à qui on a à faire.  Je ne pose jamais la question de savoir qui est quoi, de mon point de vue ce serait déjà chercher à faire une différence. Personnellement je ne cache pas ce que je suis mais je n’oblige personne à en faire autant.
(*) Je dois reconnaître que plus de deux ans après cette volonté de me faire taire est toujours omniprésente et m’exprimer n’est pas facile. La diplomatie n’est pas mon fort mais ce que je dis non seulement est sincère par conséquent audible mais s’avère très souvent vérifié par sa justesse. Je n’ai aucune difficulté à appeler un chat, un chat, ou un aigrefin, un escroc, qu’il fut de la pensée ou un voleur.

Hamas est une organisation politico-religieuse -comme l’est par ailleurs le sionisme- ayant fait scission  il est vrai avec les Frères musulmans Egyptiens. Prônant un Islam fondamentaliste. Contrairement au Fatah organisation laïque. Des  affrontements sanglants  ont émaillé leur parcours. Toutefois  la propagande sioniste accusant Hamas de terrorisme n’est pas fondée. Le Hamas a été élu démocratiquement tout comme peuvent l’être les gouvernements israéliens et Hamas n’est pas plus extrémiste que peut l’être le gouvernement Netanyahu.  Libermann dans une vraie démocratie serait cent fois en prison pour propos racistes et incitation au meurtre.  Et c’est ce gouvernement qui qualifié de terroriste une autre organisation ! Cela prouve, en tous cas, la probité de nos gouvernants qui soutiennent un tel Etat.

Traduction de « El Pais » journal espagnol, que j’envoyais aux membres du collectif :
Bonjour à tous, prenez le temps de lire cela vaut la peine. 

N’étant pas sur que les medias français abordent l’information sous cet angle, et avec la même objectivité,   je vous en fais part. 
Israël a utilisé des bombes au phosphore blanc et DIME contre les civils de Gaza.
L’ONG « Human Rights Watch » ramassa des restes de bombes dans des zones habitées.Jerusalén –
26/03/2009
L’Organisation internationale de défense des droits humains Human Rughts Watch (HRW) dénonça hier Israël l’accusant de crimes de Guerre » pour avoir utilisé bombes au phosphore blanc contre la population de Gaza. L’ONG présenta à Jérusalem l’information Pluie de feu : l’utilisation illégale de phosphore blanc à Gaza de la part d’Israël, et apporta des témoignages sur l’utilisation de cette arme pendant l’offensive militaire contre Gaza, qui eut lieu entre le 27 décembre et le 18 de janvier derniers.  L’utilisation de phosphore blanc n’est pas interdit, mais il y a des normes basiques internationales qui exigent de prendre toutes les précautions possibles pour protéger les civils, ce qui ne se fit pas avec ces armes à Gaza. Déclara l’agence « Efe Bill Van Esveld », cabinet juridique de HRW.   
En contact avec la peau, cette substance provoque de profondes brûlures et peut provoquer des blessures mortelles au foi, les reins et au cœur. Déclara un des auteurs  de l’information.  Selon Van Esveld, « blesser délibérément des civils sans obligation absolue constitue un crime de guerre, c’est ainsi que le détermine le premier protocole additionnel de la Convention de Genève "et" parce que cette norme fait partie intégrante des  conventions de Genève Human Rights Watch à recueilli plus d’une vingtaine de restes de bombes au phosphore blanc de 155 mm dans des rues résidentielles, des toits de maisons, une école de l’ONU, un hôpital, un marché et autres installations civiles. Les militaires utilisent le phosphore blanc pour masquer leurs opérations sous une épaisse fumée. Aussi pour incendier des aires déterminés avec les plus de 800 degrés centigrades qu’atteignent ces bombes.
Ces usages sont permis. Mais selon HRW, Israël utilisa le phosphore blanc de manière répétée dans des aires abondement peuplées, provoquant au moins 120 morts par brûlures non nécessaires parmi la population civile palestinienne.     
Israël dans un premier temps niait l’utilisation de phosphore blanc à Gaza, mais devant  les nombreuses preuves apportées qui firent la preuve du contraire, Israël déclara que l’armé les avait utilisée mais en concordance avec la légalité internationale.
Puis annonça, une investigation interne afin de vérifier s’il y a eu un usage inapproprié de cette substance. Indiqua l’ONG.   

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